Se reconnecter à la nature est bon pour la santé
Et ça, les Japonais l'ont bien compris depuis longtemps. Sur l'archipel niponne, la pratique du “shinrin yoku” consiste à prendre des bains de forêt pour renforcer l’immunité contre les maladies. En effet, les arbres rejettent dans l’air des phytoncides (un composé organique végétal) qui protègent des bactéries et des virus quand tu les respires.
Des chercheurs britanniques expliquent également qu’il faudrait se mettre au vert au moins deux heures par semaine pour en ressentir les premiers bienfaits. D'ailleurs, il n'est pas obligé que ces 120 minutes soient consécutives, elles peuvent être fractionnées dans le temps.
Se reconnecter à la nature fait baisser le stress
C’est scientifiquement prouvé : les balades en forêt font baisser le taux de cortisol (l’hormone du stress) dans le sang et réduit rythme cardiaque.
Respirer de l'air pur peut aussi libérer des tensions à la différence d'un air pollué qui apporte du stress, de la fatigue et même des migraines.
Se reconnecter à la nature est bon contre la déprime
Des chercheurs américains ont publié une étude sur les effets anti-dépresseurs du contact avec la nature. Une promenade fait du bien au cerveau, rend plus positif et moins sujet aux ruminations, donc moins déprimé.
Mais encore une fois, les premiers effets ne sont visibles qu’à partir de 120 minutes passées en pleine nature (cumulées ou fractionnées sur toute la semaine).
Se reconnecter à la nature réduit les risques d'insomnie
Marcher, rythmer sa journée par une balade et prendre l’air peut améliorer la qualité du sommeil. En se dépensant physiquement, le corps se décharge de tout le stress accumulé au long de la semaine et les yeux peuvent se reposer hors écran (la lumière bleue influe sur l'hormone du sommeil).
Se reconnecter à la nature, c'est apprendre à la protéger
Cyril Dion, réalisateur et militant écologiste disait dans son dernier documentaire “ANIMAL” qu' « on ne peut protéger quelque chose que l'on ne connaît pas, que l’on ne fréquente pas. » D'ailleurs, une étude de l'observatoire Spinoza explique que les personnes les plus engagées pour l’avenir de la planète sont aussi celles qui sont le plus en relation avec la nature. Donc plus de gens seront proches de l’environnement, plus les actions individuelles et écolos augmenteront.