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Disponible jusqu'au 12/11/2027
Avec la sècheresse de l'été 2022, les troupeaux sont en pâture sur l'herbe sèche. Dans la montagne comme dans la Vallée des Aldudes où les brebis et vaches n'ont plus rien à manger. Cette sècheresse est plus précoce que les années précédentes avec une pluviométrie en déficit de 30 % depuis le printemps. L'été 2022 est plus chaud au Pays Basque avec des températures de 2 à 4 °C au-dessus de la normale. Les pertes estimées pour le vignoble d'Irouléguy vont de 40 à 50 % en fonction des domaines. C'est aussi un problème pour les éleveurs comme à Espelette où un éleveur puise sur son stock de fourrage pour nourrir ses vaches. Il a dû descendre ses troupeaux de brebis avec deux mois d'avance pour qu'elles puissent être nourries. Il y aura moins de rendement pour son champ de maïs qui sert à nourrir ses bêtes. La coopérative Lur Berri estime la baisse de production de maïs entre 35 à 40 % dans le Grand Sud Ouest. La chambre d'agriculture a demandé fin août aux pouvoirs publics un plan national d'urgence. Un magazine de Andde Irosbehere et Emmanuel Galerne. Montage : Brigitte Sandeaux-Cadet.En savoir plusDiffusé le 22/03/2023 à 13h52 - Disponible jusqu'au 12/11/2027
Avec la sècheresse de l'été 2022, les troupeaux sont en pâture sur l'herbe sèche. Dans la montagne comme dans la Vallée des Aldudes où les brebis et vaches n'ont plus rien à manger.
Cette sècheresse est plus précoce que les années précédentes avec une pluviométrie en déficit de 30 % depuis le printemps. L'été 2022 est plus chaud au Pays Basque avec des températures de 2 à 4 °C au-dessus de la normale. Les pertes estimées pour le vignoble d'Irouléguy vont de 40 à 50 % en fonction des domaines.
C'est aussi un problème pour les éleveurs comme à Espelette où un éleveur puise sur son stock de fourrage pour nourrir ses vaches. Il a dû descendre ses troupeaux de brebis avec deux mois d'avance pour qu'elles puissent être nourries. Il y aura moins de rendement pour son champ de maïs qui sert à nourrir ses bêtes.
La coopérative Lur Berri estime la baisse de production de maïs entre 35 à 40 % dans le Grand Sud Ouest. La chambre d'agriculture a demandé fin août aux pouvoirs publics un plan national d'urgence.
Un magazine de Andde Irosbehere et Emmanuel Galerne. Montage : Brigitte Sandeaux-Cadet.