publié le 15/02/2024 à 06h00 Disponible jusqu'au 14/02/2025
Missak Manouchian, dont les parents ont été victime du génocide arménien, a grandi dans un orphelinat au Liban avant d’arriver à Paris à l’âge de 19 ans. Féru de culture française et poète à ses heures perdues, il enchaine les petits boulots. Après la manifestation du 6 février 1934, il adhère au parti communiste français et rejoint le groupe arménien de la Main d’œuvre immigrée. Il s’investit aussi au sein du HOK (Comité de secours pour l'Arménie) où il rencontre sa femme, Mélinée.
publié le 15/02/2024 à 06h00 Disponible jusqu'au 14/02/2025
Missak Manouchian, dont les parents ont été victime du génocide arménien, a grandi dans un orphelinat au Liban avant d’arriver à Paris à l’âge de 19 ans. Féru de culture française et poète à ses heures perdues, il enchaine les petits boulots. Après la manifestation du 6 février 1934, il adhère au parti communiste français et rejoint le groupe arménien de la Main d’œuvre immigrée. Il s’investit aussi au sein du HOK (Comité de secours pour l'Arménie) où il rencontre sa femme, Mélinée.
