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Bagarre en concert au Pitchfork Music Festival Paris 2018
Pitchfork Music Festival Paris- Arts & spectacles
- 49 min 55 s
- indisponible
- tous publics
Le quintet parisien de Bagarre vient retourner la Grande Halle de la Villette.Le groupe Bagarre débarque au Pitchfork Music Festival Paris avec sa musique à l’image de son nom de scène. Trap, punk, rap, électro, house, tous les genres musicaux se retrouvent dans une sorte de mêlée, déconstruits pour mieux être remodelés dans un enchaînement de rythmes. Une folie de sons !Energique, brutale, fiévreuse, les mots manquent pour décrire la force et l’esthétisme de la musique produite par les cinq musiciens de la formation Bagarre. Présent ce vendredi 2 novembre au désormais mythique Pitchfork Music Festival, le groupe enchaîne les tubes aux influences éparses et pourtant très liées : rap, house, techno, trap et kuduro se côtoient dans une danse effrénée avec les festivaliers. Emmaï Dee, La Bête, Majnoun, Maître Clap et Mus vous attendent pour transmettre leur fureur du son avec amour...et une pointe de sueur.Quand tu vas en club, tu écoutes de la techno, des trucs instrumentaux, basés sur des sensations, de la basse… Et sur toutes ces musiques, il y a toujours une petite trace de voix dont le message est hyper important. Quand on a commencé à mixer en club, on n'était pas de grands techniciens. Mais on s'est rendus compte que dès qu'une voix trainait sur un morceau avec un petit message, que ce soit sur de la house ou du rap, ça touchait vachement plus les gens.La Bête pour Noisey.vice.comEcoutez le morceau "Danser seul (ne suffit pas)"
En savoir plus Le quintet parisien de Bagarre vient retourner la Grande Halle de la Villette.
Le groupe Bagarre débarque au Pitchfork Music Festival Paris avec sa musique à l’image de son nom de scène. Trap, punk, rap, électro, house, tous les genres musicaux se retrouvent dans une sorte de mêlée, déconstruits pour mieux être remodelés dans un enchaînement de rythmes. Une folie de sons !
Energique, brutale, fiévreuse, les mots manquent pour décrire la force et l’esthétisme de la musique produite par les cinq musiciens de la formation Bagarre. Présent ce vendredi 2 novembre au désormais mythique Pitchfork Music Festival, le groupe enchaîne les tubes aux influences éparses et pourtant très liées : rap, house, techno, trap et kuduro se côtoient dans une danse effrénée avec les festivaliers. Emmaï Dee, La Bête, Majnoun, Maître Clap et Mus vous attendent pour transmettre leur fureur du son avec amour...et une pointe de sueur.
Quand tu vas en club, tu écoutes de la techno, des trucs instrumentaux, basés sur des sensations, de la basse… Et sur toutes ces musiques, il y a toujours une petite trace de voix dont le message est hyper important. Quand on a commencé à mixer en club, on n'était pas de grands techniciens. Mais on s'est rendus compte que dès qu'une voix trainait sur un morceau avec un petit message, que ce soit sur de la house ou du rap, ça touchait vachement plus les gens.La Bête pour Noisey.vice.comEcoutez le morceau "Danser seul (ne suffit pas)"
Le groupe Bagarre débarque au Pitchfork Music Festival Paris avec sa musique à l’image de son nom de scène. Trap, punk, rap, électro, house, tous les genres musicaux se retrouvent dans une sorte de mêlée, déconstruits pour mieux être remodelés dans un enchaînement de rythmes. Une folie de sons !
Energique, brutale, fiévreuse, les mots manquent pour décrire la force et l’esthétisme de la musique produite par les cinq musiciens de la formation Bagarre. Présent ce vendredi 2 novembre au désormais mythique Pitchfork Music Festival, le groupe enchaîne les tubes aux influences éparses et pourtant très liées : rap, house, techno, trap et kuduro se côtoient dans une danse effrénée avec les festivaliers. Emmaï Dee, La Bête, Majnoun, Maître Clap et Mus vous attendent pour transmettre leur fureur du son avec amour...et une pointe de sueur.
Quand tu vas en club, tu écoutes de la techno, des trucs instrumentaux, basés sur des sensations, de la basse… Et sur toutes ces musiques, il y a toujours une petite trace de voix dont le message est hyper important. Quand on a commencé à mixer en club, on n'était pas de grands techniciens. Mais on s'est rendus compte que dès qu'une voix trainait sur un morceau avec un petit message, que ce soit sur de la house ou du rap, ça touchait vachement plus les gens.La Bête pour Noisey.vice.comEcoutez le morceau "Danser seul (ne suffit pas)"