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Les Joyeuses Commères de Windsor à l'Opéra Royal de Wallonie
Opéra Royal de Wallonie-Liège- Arts & spectacles
- 2 h 33 min
- indisponible
- tous publics
À propos de la pièce Sir John Falstaff mène une vie de bâton de chaise. Toujours sans le sou, il envoie la même lettre d’amour à Frau Fluth et Frau Reich, deux riches bourgeoises. Celles-ci, se rendant compte de la supercherie, sont piquées au vif. Elles ne peuvent dès lors que s’amuser aux dépens du maladroit prétendant. Tantôt jeté dans la Tamise avec le linge sale, tantôt expulsé à grands coups de balai alors qu’il est déguisé en femme, Falstaff devient la moquerie des enfants du village lorsqu’il se promène dans la forêt dans un costume de fantôme. :: Dans les coulisses de l'Opéra Royal de Wallonie, interprètes, metteur en scène et chef d'orchestre profitent de l'entracte pour se livrer sur l'oeuvre d'Otto Nicolai et sa représentation à Liège, au micro de Sarah Van Calck :: Interview de la soprano belge Anneke Luyten (rôle : Frau Fluth) [[asset:video:181615 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Interview de la mezzo soprano Sabina Willeit (rôle : Frau Reich) [[asset:video:181617 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Interview du pianiste et chef d'orchestre Christian Zacharias [[asset:video:181621 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Interview du metteur en scène David Hermann [[asset:video:181623 {"mode":"in_body","align":"none"}]]L'oeuvre de Nicolai Compositeur et chef d’orchestre allemand, Otto Nicolai est né en 1810 à Königsberg. Fuyant l’éducation tyrannique de son père, il travailla dans un premier temps à Berlin avec Carl Friedrich Zelter (précurseur de Schubert). En 1833, il devint organiste à l’ambassade de Prusse à Rome où il se familiarise avec la musique italienne ancienne. Après un premier court séjour viennois, il fit représenter, en Italie, plusieurs opéras. Il revint à Vienne en 1841, où il occupa le poste de premier chef d’orchestre de l’Opéra impérial jusqu’en 1847, car n’ayant pu y faire représenter son opéra d’après Shakespeare ("Les Joyeuses Commères de Windsor"), il en démissionna. C’est à Berlin (où il venait d’être nommé maître de chapelle à l’Opéra), en 1849 (deux mois avant sa mort), qu’eut lieu la création de cette oeuvre humoristique et très très gaie, qui a elle seule sauva son nom de l’oubli. "Les Joyeuses Commères de Windsor" constituent une partition bien à part, tour à tour enjouée, mélancolique, comique et jamais grossière. Le sujet se déroule à la fin du XVIe siècle. Les femmes étaient alors prétendues soumises au diktat de l’homme (du moins du mari !). Nicolai les traite à la façon du XIXe siècle, début de leur émancipation, aussi se moquent-elles du séducteur défraîchi, baratineur qu’est le noble Falstaff, et rendent en même temps leurs maris jaloux pour mieux se gausser d’eux. Tout est divertissant, endiablé, jamais lourd.OEuvre originale et rarement programmée où alternent astucieusement les moments poétiques et plaisants (c’est d’ailleurs la première fois que cet ouvrage est donné à Liège), "Les Joyeuses Commères de Windsor" d’Otto Nicolai offrent toutes les garanties d’un authentique opéra-comique! Le naïf ventru et coureur de femmes, franc bon vivant, est aux prises avec des commères expertes dans l’art de gruger... Source : Opéra royal de Wallonie
En savoir plus À propos de la pièce Sir John Falstaff mène une vie de bâton de chaise. Toujours sans le sou, il envoie la même lettre d’amour à Frau Fluth et Frau Reich, deux riches bourgeoises. Celles-ci, se rendant compte de la supercherie, sont piquées au vif. Elles ne peuvent dès lors que s’amuser aux dépens du maladroit prétendant. Tantôt jeté dans la Tamise avec le linge sale, tantôt expulsé à grands coups de balai alors qu’il est déguisé en femme, Falstaff devient la moquerie des enfants du village lorsqu’il se promène dans la forêt dans un costume de fantôme. :: Dans les coulisses de l'Opéra Royal de Wallonie, interprètes, metteur en scène et chef d'orchestre profitent de l'entracte pour se livrer sur l'oeuvre d'Otto Nicolai et sa représentation à Liège, au micro de Sarah Van Calck :: Interview de la soprano belge Anneke Luyten (rôle : Frau Fluth) [[asset:video:181615 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Interview de la mezzo soprano Sabina Willeit (rôle : Frau Reich) [[asset:video:181617 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Interview du pianiste et chef d'orchestre Christian Zacharias [[asset:video:181621 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Interview du metteur en scène David Hermann [[asset:video:181623 {"mode":"in_body","align":"none"}]]L'oeuvre de Nicolai Compositeur et chef d’orchestre allemand, Otto Nicolai est né en 1810 à Königsberg. Fuyant l’éducation tyrannique de son père, il travailla dans un premier temps à Berlin avec Carl Friedrich Zelter (précurseur de Schubert). En 1833, il devint organiste à l’ambassade de Prusse à Rome où il se familiarise avec la musique italienne ancienne. Après un premier court séjour viennois, il fit représenter, en Italie, plusieurs opéras. Il revint à Vienne en 1841, où il occupa le poste de premier chef d’orchestre de l’Opéra impérial jusqu’en 1847, car n’ayant pu y faire représenter son opéra d’après Shakespeare ("Les Joyeuses Commères de Windsor"), il en démissionna. C’est à Berlin (où il venait d’être nommé maître de chapelle à l’Opéra), en 1849 (deux mois avant sa mort), qu’eut lieu la création de cette oeuvre humoristique et très très gaie, qui a elle seule sauva son nom de l’oubli. "Les Joyeuses Commères de Windsor" constituent une partition bien à part, tour à tour enjouée, mélancolique, comique et jamais grossière. Le sujet se déroule à la fin du XVIe siècle. Les femmes étaient alors prétendues soumises au diktat de l’homme (du moins du mari !). Nicolai les traite à la façon du XIXe siècle, début de leur émancipation, aussi se moquent-elles du séducteur défraîchi, baratineur qu’est le noble Falstaff, et rendent en même temps leurs maris jaloux pour mieux se gausser d’eux. Tout est divertissant, endiablé, jamais lourd.OEuvre originale et rarement programmée où alternent astucieusement les moments poétiques et plaisants (c’est d’ailleurs la première fois que cet ouvrage est donné à Liège), "Les Joyeuses Commères de Windsor" d’Otto Nicolai offrent toutes les garanties d’un authentique opéra-comique! Le naïf ventru et coureur de femmes, franc bon vivant, est aux prises avec des commères expertes dans l’art de gruger... Source : Opéra royal de Wallonie