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Leyla McCalla trio au festival Jazz sous les pommiers 2016
Jazz sous les pommiers- Arts & spectacles
- 1 h 22 min
- indisponible
- tous publics
Née à New-York de parents haïtiens, c'est dans le quartier français de la Nouvelle-Orléans que Leyla McCalla s'installe avec son violoncelle. Elle y joue Bach, avant d'être repérée par le groupe Carolina Chocolate Drop. Elle rejoint la formation avec qui elle enchaîne les tournées, avant de se lancer en solo. Entre blues et folk, elle chante en créole et en anglais. Layla McCalla interprète "Too Blue", d'après le poème éponyme de Langston Hughes : [[asset:video:253593 {"mode":"in_body","align":"none"}]] Après le succès, en 2013, de son premier album, "Vari-colored songs", hautement salué par la critique et dans lequel elle adaptait des textes du poète afro-américain Langston Hughes (membre du courant artistique et contestataire "Renaissance de Harlem" dans les années 1920), l'artiste revient avec un deuxième opus, "A day for the Hunter, a day for the prey". Pour défendre les couleurs chaudes et l'atmosphère douce de ce projet à Coutances, elle retrouve Raphaël Imbert, saxophoniste qu'elle a rencontré lorsqu'il enregistrait à La Nouvelle Orléans son opus "Music is my Home" et s'entoure d'un autre fin connaisseur des musiques noires, le guitariste Pascale Danae.
En savoir plus Née à New-York de parents haïtiens, c'est dans le quartier français de la Nouvelle-Orléans que Leyla McCalla s'installe avec son violoncelle. Elle y joue Bach, avant d'être repérée par le groupe Carolina Chocolate Drop. Elle rejoint la formation avec qui elle enchaîne les tournées, avant de se lancer en solo. Entre blues et folk, elle chante en créole et en anglais. Layla McCalla interprète "Too Blue", d'après le poème éponyme de Langston Hughes : [[asset:video:253593 {"mode":"in_body","align":"none"}]] Après le succès, en 2013, de son premier album, "Vari-colored songs", hautement salué par la critique et dans lequel elle adaptait des textes du poète afro-américain Langston Hughes (membre du courant artistique et contestataire "Renaissance de Harlem" dans les années 1920), l'artiste revient avec un deuxième opus, "A day for the Hunter, a day for the prey". Pour défendre les couleurs chaudes et l'atmosphère douce de ce projet à Coutances, elle retrouve Raphaël Imbert, saxophoniste qu'elle a rencontré lorsqu'il enregistrait à La Nouvelle Orléans son opus "Music is my Home" et s'entoure d'un autre fin connaisseur des musiques noires, le guitariste Pascale Danae.