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Kyle Eastwood au festival Jazz sous les pommiers
Jazz sous les pommiers- Arts & spectacles
- 1 h 36 min
- indisponible
- tous publics
Kyle Eastwood est un explorateur : à l'aise autant avec des mélodies jazz qu'avec des compositions pop, le compositeur entame sa carrière en 1998 et dès lors multiplie les collaborations artistiques les plus prestigieuses. En 2011, il crée une formation avec qui il revisite Herbie Hancock, Horace Silver, tout en se laissant le loisir de composer ses propres titres. À l'origine de son inspiration ? Le hard bop des Jazz Messengers d’Art Blakey ou les quintets de Miles Davis tout au long des années 60. L'Américain installé à Paris revient à un jazz plus lyrique avec "Timepieces", un album de reprises. Écoutez "From Rio to Havana", extrait du sixième album de Kyle Eastwood, "The View from Here" [[asset:video:66683 {"mode":"in_body","align":"none","field_asset_description":["Kyle Eastwood : \u0022From Rio to Havana\u0022, extrait de \u0022The View from here\u0022 (Jazz Village, 2013)"]}]] Proche de Manu Katché, Éric Legnini, Ben Cullum ou encore de la chanteuse Camille, le musicien se produit régulièrement en France, son pays d'adoption, où il enregistre régulièrement ses albums ("Songs from the Château" a été produit dans le vignoble bordelais et "The View from Here" au studio de La Buissonne dans le Vaucluse). Artiste aux collaborations variées, on lui doit également la bande originale d'"Invictus", "Gran Torino" (film pour lequel il a partagé en 2009 l'Oscar de la Meilleur chanson avec son père, Jamie Cullum et Michael Stevens), ou encore "Lettres d'Iwo Jima". Dans une interview donnée à Culturebox en 2013, Kyle Eastwood revient sur son éducation musicale et l'influence de son père dans ses choix de musicien :« Je me souviens que pour mon tout premier concert de jazz, je suis allé voir Count Basie, en 1976 ou 1977, au festival de jazz de Monterey. Avec mon père, nous avions assisté à une partie du show dans le public, puis nous nous étions rendus backstage pour la fin du spectacle. A l'époque, j'étais très intéressé par la batterie, alors je regardais le batteur... C'est peut-être à ce moment que j'ai ressenti l'envie d'apprendre un instrument. J'ai d'abord commencé par le piano. Mais je n'aime pas que le jazz. J'aime également le rhythm and blues, les disques de Motown et Stax (légendaires labels soul, ndlr), James Brown, des groupes de funk, les musiques d'Afrique du Nord, d'Inde... »
En savoir plus Kyle Eastwood est un explorateur : à l'aise autant avec des mélodies jazz qu'avec des compositions pop, le compositeur entame sa carrière en 1998 et dès lors multiplie les collaborations artistiques les plus prestigieuses. En 2011, il crée une formation avec qui il revisite Herbie Hancock, Horace Silver, tout en se laissant le loisir de composer ses propres titres. À l'origine de son inspiration ? Le hard bop des Jazz Messengers d’Art Blakey ou les quintets de Miles Davis tout au long des années 60. L'Américain installé à Paris revient à un jazz plus lyrique avec "Timepieces", un album de reprises. Écoutez "From Rio to Havana", extrait du sixième album de Kyle Eastwood, "The View from Here" [[asset:video:66683 {"mode":"in_body","align":"none","field_asset_description":["Kyle Eastwood : \u0022From Rio to Havana\u0022, extrait de \u0022The View from here\u0022 (Jazz Village, 2013)"]}]] Proche de Manu Katché, Éric Legnini, Ben Cullum ou encore de la chanteuse Camille, le musicien se produit régulièrement en France, son pays d'adoption, où il enregistre régulièrement ses albums ("Songs from the Château" a été produit dans le vignoble bordelais et "The View from Here" au studio de La Buissonne dans le Vaucluse). Artiste aux collaborations variées, on lui doit également la bande originale d'"Invictus", "Gran Torino" (film pour lequel il a partagé en 2009 l'Oscar de la Meilleur chanson avec son père, Jamie Cullum et Michael Stevens), ou encore "Lettres d'Iwo Jima". Dans une interview donnée à Culturebox en 2013, Kyle Eastwood revient sur son éducation musicale et l'influence de son père dans ses choix de musicien :« Je me souviens que pour mon tout premier concert de jazz, je suis allé voir Count Basie, en 1976 ou 1977, au festival de jazz de Monterey. Avec mon père, nous avions assisté à une partie du show dans le public, puis nous nous étions rendus backstage pour la fin du spectacle. A l'époque, j'étais très intéressé par la batterie, alors je regardais le batteur... C'est peut-être à ce moment que j'ai ressenti l'envie d'apprendre un instrument. J'ai d'abord commencé par le piano. Mais je n'aime pas que le jazz. J'aime également le rhythm and blues, les disques de Motown et Stax (légendaires labels soul, ndlr), James Brown, des groupes de funk, les musiques d'Afrique du Nord, d'Inde... »