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Ghost Culture au Festival Les inRocKs Philips 2015
Les Inrocks Festival- Arts & spectacles
- 45 s
- indisponible
- tous publics
Petit protégé du célèbre producteur d'électro Erol Alkan, James Greenwood alias Ghost Culture vient défendre un premier album onirique sur la scène de la Cigale. Après avoir forgé sa culture musicale en traînant dans les clubs de Londres, cet anglais de 24 ans est à suivre de près. Musicien virtuose avec une formation de clarinettiste, il compose tous ses morceaux à la guitare sèche puis les visualise mentalement avec les arrangements finaux. Une rigueur implacable qui réussit avec brio à donner de l’âme aux morceaux les plus électroniques. "J’aime ce mélange entre un coeur fragile et la robotique des machines. Je déteste cette tendance des musiques électroniques à tout nettoyer, polir, perfectionner… Mon album, c’est une réaction à ces musiques cliniques, corrigées jusqu’à ne plus être humaines” explique-t-il aux Inrocks. Regardez le clip de « Lucky » [[asset:video:227883 {"mode":"in_body","align":"none"}]] Héritier de Depeche Mode et autre New Order, le dandy de l’électro collabore avec des pointures comme Death In Vegas, ou bien encore le DJ britannique Daniel Avery, et réussi à charmer Erol Alkan qu’il admire, et qui le fait rentrer dans son écurie très select de la scène underground londonienne. Regardez le clip de « Guidecca » [[asset:video:227899 {"mode":"in_body","align":"none"}]] Avec sa pop électronique sensible et ses mélodies habitées, Ghost Culture livre une musique envoûtante, toujours sur le fil, et nul doute qu’il saura une fois de plus ensorceler ceux qui seront venus le voir.
En savoir plus Petit protégé du célèbre producteur d'électro Erol Alkan, James Greenwood alias Ghost Culture vient défendre un premier album onirique sur la scène de la Cigale. Après avoir forgé sa culture musicale en traînant dans les clubs de Londres, cet anglais de 24 ans est à suivre de près. Musicien virtuose avec une formation de clarinettiste, il compose tous ses morceaux à la guitare sèche puis les visualise mentalement avec les arrangements finaux. Une rigueur implacable qui réussit avec brio à donner de l’âme aux morceaux les plus électroniques. "J’aime ce mélange entre un coeur fragile et la robotique des machines. Je déteste cette tendance des musiques électroniques à tout nettoyer, polir, perfectionner… Mon album, c’est une réaction à ces musiques cliniques, corrigées jusqu’à ne plus être humaines” explique-t-il aux Inrocks. Regardez le clip de « Lucky » [[asset:video:227883 {"mode":"in_body","align":"none"}]] Héritier de Depeche Mode et autre New Order, le dandy de l’électro collabore avec des pointures comme Death In Vegas, ou bien encore le DJ britannique Daniel Avery, et réussi à charmer Erol Alkan qu’il admire, et qui le fait rentrer dans son écurie très select de la scène underground londonienne. Regardez le clip de « Guidecca » [[asset:video:227899 {"mode":"in_body","align":"none"}]] Avec sa pop électronique sensible et ses mélodies habitées, Ghost Culture livre une musique envoûtante, toujours sur le fil, et nul doute qu’il saura une fois de plus ensorceler ceux qui seront venus le voir.