La vidéo n'est pas disponible
"Les Contes d'Hoffmann" d'Offenbach à l'Opéra de Monte-Carlo
|
arts & spectacles
2 h 33 min
IndisponibleTous publics
Les malheurs du poète HoffmannLe compositeur Jacques Offenbach s'inspire de trois nouvelles d’Ernest Theodor Amadeus Hoffmann (L’Homme au sable, Le Violon de Crémone et Le Reflet perdu) pour créer ce qu'il espère être sa plus grande réussite. Il inflige à son personnage principal, le poète Hoffmann, trois douloureux chagrins d'amour inspirés par trois femmes : la poupée Olympia, la fragile Antonia et la cruelle Giulietta. Les illustres airs accompagnent mélancoliquement le récit de ce poète fantasque en quête d'idéal. Un idéal qu'il pense trouver en même temps que l'amour. Fait-il fausse route ? La quête artistique de toute une vieÀ l'image de son personnage principal, Jacques Offenbach est lui aussi en recherche d'absolu. Avec ses contes d'Hoffmann il espère la reconnaissance d'un public qui lui renvoie l'image d'un amuseur sans véritable profondeur. Il se lance dans la création d'un opéra qu'il souhaite à la hauteur de son immense talent, plus dramatique et puissant. Cette réalisation prend une place essentielle dans sa vie. Il meurt pourtant avant d'avoir pu l'achever, le 5 octobre 1880, en pleine répétition à l'Opéra Comique.
Offenbach à MonacoLa scène de l'Opéra de Monte-Carlo accueille le ténor Juan Diego Florèz qui interprète pour la première fois "Les contes d'Hoffmann". Pour cette prise de rôle (titre) très attendue il est accompagné de la chanteuse Olga Peretyatko qui cumule les trois rôles féminins. Cette production mise en scène par Jean-Louis Grinda également Directeur de l’Opéra monégasque est mise en musique par le Chœur et l'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo dirigé par le chef québécois Jacques Lacombe.En savoir plus
Les malheurs du poète HoffmannLe compositeur Jacques Offenbach s'inspire de trois nouvelles d’Ernest Theodor Amadeus Hoffmann (L’Homme au sable, Le Violon de Crémone et Le Reflet perdu) pour créer ce qu'il espère être sa plus grande réussite. Il inflige à son personnage principal, le poète Hoffmann, trois douloureux chagrins d'amour inspirés par trois femmes : la poupée Olympia, la fragile Antonia et la cruelle Giulietta. Les illustres airs accompagnent mélancoliquement le récit de ce poète fantasque en quête d'idéal. Un idéal qu'il pense trouver en même temps que l'amour. Fait-il fausse route ? La quête artistique de toute une vieÀ l'image de son personnage principal, Jacques Offenbach est lui aussi en recherche d'absolu. Avec ses contes d'Hoffmann il espère la reconnaissance d'un public qui lui renvoie l'image d'un amuseur sans véritable profondeur. Il se lance dans la création d'un opéra qu'il souhaite à la hauteur de son immense talent, plus dramatique et puissant. Cette réalisation prend une place essentielle dans sa vie. Il meurt pourtant avant d'avoir pu l'achever, le 5 octobre 1880, en pleine répétition à l'Opéra Comique.Offenbach à MonacoLa scène de l'Opéra de Monte-Carlo accueille le ténor Juan Diego Florèz qui interprète pour la première fois "Les contes d'Hoffmann". Pour cette prise de rôle (titre) très attendue il est accompagné de la chanteuse Olga Peretyatko qui cumule les trois rôles féminins. Cette production mise en scène par Jean-Louis Grinda également Directeur de l’Opéra monégasque est mise en musique par le Chœur et l'Orchestre Philharmonique de Monte-Carlo dirigé par le chef québécois Jacques Lacombe.