On parle de ce qui vous intéresse ?
Juste pour vous proposer des recommandations… qui vous intéressent ;)
Tokyo, Jeux interdits
- Magazines d'actualité
- 52 min 9 s
- tous publics
diffusé le 09/08/2021 à 20h04 Disponible jusqu'au 19/01/2038
Avec le Covid, Tokyo a mis les Jeux Olympiques sous cloche. Le plus grand événement sportif du monde s’est joué sans public et sans liesse, ce qui constitue une première dans l’histoire olympique. Ces Jeux interdits, quatre athlètes français les racontent de l’intérieur. Parmi eux figurent les handballeuses Estelle Nze Minko et Méline Nocandy, couronnées d’or le dernier jour des Jeux. L’outsider Samuel Kistohurry, boxeur poids plume, et la lutteuse Koumba Larroque, nous ouvrent également les portes d’un événement verrouillé, cadenassé. Les Japonais, aussi, ont la parole, une parole souvent surprenante, parfois grinçante, quand il s’agit de qualifier la présence des étrangers sur leur territoire. Même après les médailles nippones, un majorité de locaux rejettent cet événement : trop coûteux, trop dangereux à cause du risque sanitaire. Le journaliste Ben Barnier essaie lui aussi de montrer les tracasseries imposées par le gouvernement japonais - pris en étau entre une population en colère et un comité olympique qui impose la tenue de la compétition. Alors, cela donne une arrivée à l’aéroport interminable, ponctuée de guichets où il faut cracher, montrer quatre à cinq fois son passeport, essayer de s’expliquer avec des Japonais à l’anglais hésitant. Et à l’arrivée, les journalistes, comme tous les étrangers, athlètes y compris, sont soumis à une quatorzaine d’isolement. Le soir de la cérémonie d’ouverture, cela donne : un stade olympique, d’une capacité de 68.000 places, quasiment vide, des Tokyoïtes qui manifestent au pied de l’arène et des étrangers qui suivent les chorégraphies et les ballet des délégations à la télévision depuis leur chambre d’isolement. Un documentaire de 52 minutes de Ben Barnier, Chris Kenck et Harold Horoks.
En savoir plus diffusé le 09/08/2021 à 20h04 Disponible jusqu'au 19/01/2038
Avec le Covid, Tokyo a mis les Jeux Olympiques sous cloche. Le plus grand événement sportif du monde s’est joué sans public et sans liesse, ce qui constitue une première dans l’histoire olympique. Ces Jeux interdits, quatre athlètes français les racontent de l’intérieur. Parmi eux figurent les handballeuses Estelle Nze Minko et Méline Nocandy, couronnées d’or le dernier jour des Jeux. L’outsider Samuel Kistohurry, boxeur poids plume, et la lutteuse Koumba Larroque, nous ouvrent également les portes d’un événement verrouillé, cadenassé. Les Japonais, aussi, ont la parole, une parole souvent surprenante, parfois grinçante, quand il s’agit de qualifier la présence des étrangers sur leur territoire. Même après les médailles nippones, un majorité de locaux rejettent cet événement : trop coûteux, trop dangereux à cause du risque sanitaire. Le journaliste Ben Barnier essaie lui aussi de montrer les tracasseries imposées par le gouvernement japonais - pris en étau entre une population en colère et un comité olympique qui impose la tenue de la compétition. Alors, cela donne une arrivée à l’aéroport interminable, ponctuée de guichets où il faut cracher, montrer quatre à cinq fois son passeport, essayer de s’expliquer avec des Japonais à l’anglais hésitant. Et à l’arrivée, les journalistes, comme tous les étrangers, athlètes y compris, sont soumis à une quatorzaine d’isolement. Le soir de la cérémonie d’ouverture, cela donne : un stade olympique, d’une capacité de 68.000 places, quasiment vide, des Tokyoïtes qui manifestent au pied de l’arène et des étrangers qui suivent les chorégraphies et les ballet des délégations à la télévision depuis leur chambre d’isolement. Un documentaire de 52 minutes de Ben Barnier, Chris Kenck et Harold Horoks.