Détachée du vieux continent Gondwana, la Nouvelle-Calédonie a construit son "identité" botanique en restant isolée près de 60 millions d’années. Cette insularité a développé et préservé une flore endémique unique au monde. Mais l’arrivée des premiers occupants tout comme, plus tard, l’introduction de centaines nouvelles espèces "exogènes" parfois invasives a bouleversé les équilibres naturels. Et pourtant depuis les recherches des naturalistes-botanistes de la fin du XVIII ème siècle, l’extraordinaire diversité végétale calédonienne est connue du monde entier. Une histoire "végétale" de la Calédonie que nous content Antoine LE TENNEUR et Joakim ARLAUD dans ce nouveau numéro de "Les Chemins de l’Histoire".
Détachée du vieux continent Gondwana, la Nouvelle-Calédonie a construit son "identité" botanique en restant isolée près de 60 millions d’années. Cette insularité a développé et préservé une flore endémique unique au monde. Mais l’arrivée des premiers occupants tout comme, plus tard, l’introduction de centaines nouvelles espèces "exogènes" parfois invasives a bouleversé les équilibres naturels. Et pourtant depuis les recherches des naturalistes-botanistes de la fin du XVIII ème siècle, l’extraordinaire diversité végétale calédonienne est connue du monde entier. Une histoire "végétale" de la Calédonie que nous content Antoine LE TENNEUR et Joakim ARLAUD dans ce nouveau numéro de "Les Chemins de l’Histoire".
