Adélaïde Bon : le pouvoir réparateur de l’écriture dans « La petite fille sur la banquise » La vidéo n'est pas disponible

S10 : Adélaïde Bon : le pouvoir réparateur de l’écriture dans « La petite fille sur la banquise »

La grande librairie

  • francetv
  • 15 min 38 s
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« J’ai neuf ans. Un dimanche de mai, je rentre seule de la fête de l’école, un monsieur me suit. Après, la confusion. Année après année, avancer dans la nuit ». Seuls les mots justes peuvent sauver. Partagez un témoignage d’une force exceptionnelle, sans une once d’auto-apitoiement. Adélaïde Bon retrace son parcours et sa lente reconstruction grâce aux mots dans « La petite fille sur la banquise », publié aux éditions Grasset et Fasquelle.

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« J’ai neuf ans. Un dimanche de mai, je rentre seule de la fête de l’école, un monsieur me suit. Après, la confusion. Année après année, avancer dans la nuit ». Seuls les mots justes peuvent sauver. Partagez un témoignage d’une force exceptionnelle, sans une once d’auto-apitoiement. Adélaïde Bon retrace son parcours et sa lente reconstruction grâce aux mots dans « La petite fille sur la banquise », publié aux éditions Grasset et Fasquelle.