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Ukraine : le journal de guerre d'Andreï Kourkov

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Augustin Trapenard reçoit Andreï Kourkov, pour "Journal d'une invasion", paru aux Editions Noir sur Blanc. L’auteur est l’un des plus grands romanciers ukrainiens, connus pour ses romans "Le pingouin" publié au Seuil en 2004, ou plus récemment "Le jardinier d'Otchakov" et "Les abeilles grises" tout deux parus aux éditions Liana Lévi en 2022.  Aujourd’hui, l'auteur ukrainien n’écrit plus de romans. Avec "Journal d'une invasion" il nous livre un compte rendu intime et politique de l’invasion russe en Ukraine pendant sept mois, des prémices de la guerre jusqu’en juillet 2022. Un récit qui décrit le quotidien des ukrainiens, entre incertitude et résistance d'un peuple qui lutte contre sa disparition. Andreï Kourkov, malgré l’actualité, avec la visite marquante de Vladimir Poutine à Marioupol qu’il compare à celle d’Hitler pendant la deuxième guerre mondiale, veut rester optimiste. L’auteur espère voir la fin de cette guerre un jour, même s’il sait qu’elle laissera des traces en lui.

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Augustin Trapenard reçoit Andreï Kourkov, pour "Journal d'une invasion", paru aux Editions Noir sur Blanc. L’auteur est l’un des plus grands romanciers ukrainiens, connus pour ses romans "Le pingouin" publié au Seuil en 2004, ou plus récemment "Le jardinier d'Otchakov" et "Les abeilles grises" tout deux parus aux éditions Liana Lévi en 2022.  Aujourd’hui, l'auteur ukrainien n’écrit plus de romans. Avec "Journal d'une invasion" il nous livre un compte rendu intime et politique de l’invasion russe en Ukraine pendant sept mois, des prémices de la guerre jusqu’en juillet 2022. Un récit qui décrit le quotidien des ukrainiens, entre incertitude et résistance d'un peuple qui lutte contre sa disparition. Andreï Kourkov, malgré l’actualité, avec la visite marquante de Vladimir Poutine à Marioupol qu’il compare à celle d’Hitler pendant la deuxième guerre mondiale, veut rester optimiste. L’auteur espère voir la fin de cette guerre un jour, même s’il sait qu’elle laissera des traces en lui.

Présenté par : Augustin Trapenard