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Marguerite Abouet : raconter la jeunesse ivoirienne

La grande librairie

  • francetv
  • Émissions culturelles
  • 7 min 18 s
  • indisponible
  • tous publics
Sur son plateau exclusivement féminin à l’occasion de la Journée internationale du droit des femmes ce mercredi 8 mars 2023, Augustin Trapenard accueillait Marguerite Abouet, venue faire la promotion de sa bande dessinée Aya de Yopougon chez Gallimard Bande dessinée. À travers les sept tomes, l’autrice met à l’honneur la jeunesse ivoirienne, qui elle-même a vécu dans le quartier de Yopougon en Côte d’Ivoire. Elle y aborde différents sujets comme l’homosexualité ou encore le mal-logement des étudiants ivoiriens. Marguerite Abouet se confie sur de nombreux sujets comme le fait qu’elle ait toujours rêvé d’être un garçon lorsqu’elle était plus jeune car selon elle son grand frère avait plus de facilité à vivre et avait accès à plus de choses, comme un vélo, des bandes-dessinées, il n’avait pas à se coiffer pendant une heure le matin, le droit de ne pas débarrasser ou encore, de ne pas faire la vaisselle, “j’étais tout le temps dans la révolte, je me disais tout le temps ‘mais ce n’est pas juste’. Les garçons allaient chasser, jouer au foot, moi, avec mes amies, je restais à jouer à la maison avec mes poupées”. 

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Sur son plateau exclusivement féminin à l’occasion de la Journée internationale du droit des femmes ce mercredi 8 mars 2023, Augustin Trapenard accueillait Marguerite Abouet, venue faire la promotion de sa bande dessinée Aya de Yopougon chez Gallimard Bande dessinée. À travers les sept tomes, l’autrice met à l’honneur la jeunesse ivoirienne, qui elle-même a vécu dans le quartier de Yopougon en Côte d’Ivoire. Elle y aborde différents sujets comme l’homosexualité ou encore le mal-logement des étudiants ivoiriens. Marguerite Abouet se confie sur de nombreux sujets comme le fait qu’elle ait toujours rêvé d’être un garçon lorsqu’elle était plus jeune car selon elle son grand frère avait plus de facilité à vivre et avait accès à plus de choses, comme un vélo, des bandes-dessinées, il n’avait pas à se coiffer pendant une heure le matin, le droit de ne pas débarrasser ou encore, de ne pas faire la vaisselle, “j’étais tout le temps dans la révolte, je me disais tout le temps ‘mais ce n’est pas juste’. Les garçons allaient chasser, jouer au foot, moi, avec mes amies, je restais à jouer à la maison avec mes poupées”. 

Présenté par : Augustin Trapenard