Portrait(s) de notre société - Quartiers populaires, en attendant Me Too
Portrait(s) de notre société- 8 min 10 s
- tous publics
Du même programme
- Portrait(s) de notre société Portrait(s) de notre société Portrait(s) de notre société - Éducation sexuelle, les mots pour le dire publié le 26/08 | 8 min
- Portrait(s) de notre société Portrait(s) de notre société Portrait(s) de notre société - Réfugiés, le rêve olympique publié le 28/07 | 7 min
- Portrait(s) de notre société Portrait(s) de notre société Portrait(s) de notre société - La sage-femme des sans-abris publié le 22/07 | 7 min
- Portrait(s) de notre société Portrait(s) de notre société Portrait(s) de notre société - Rwanda, là où repose mon père publié le 24/06 | 10 min
Nous sommes allés à la rencontre des femmes du collectif "Les clandestines”, des habitantes du quartier qui se battent contre les violences faites aux femmes et surtout pour leur émancipation. Clandestines parce qu’elles agissent en toute discrétion.
Nous avons suivi Régine Komokoli, une mère célibataire de 42 ans. Elle est née en République centrafricaine, elle a survécu à la guerre et aux viols quand elle était enfant, avant d’arriver en France où elle a connu les violences et la rue.
Mais aujourd’hui, elle est dans le combat, elle croit intimement au collectif et à la sororité pour aider les autres. Il y a 3 ans, elle a même été élue conseillère départementale d’Ille-et-Vilaine, et elle continue surtout à être sur le terrain pour aider les femmes de son quartier…Un reportage de Béryl Chaumeil.