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Invités de C l’hebdo, Mariam Pirzadeh, journaliste à France 24, ancienne correspondante en Iran et Farid Vahid, directeur de l'Observatoire de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient à la fondation Jean-Jaurès.
En Iran, la mobilisation ne faiblit pas et la répression par le pouvoir est violente. Les manifestations peuvent-elle aboutir à une révolution ? “Contrairement à 2009 et 2019, c’est un mouvement politique, sociétal, féministe, mais qui vise l’ADN du régime, la République islamique”, explique Farid Vahid. “C’est un mouvement qui touche toutes les classes sociales.”
“On rentre dans la quatrième semaine de contestation et on a l’impression que chaque jour ils sont encore plus déterminés et nombreux dans les rues”, assure Mariam Pirzadeh, qui n’est pas surprise par cette colère. “J’ai senti la colère montée”, ajoute la journaliste. “Vous avez une rue iranienne qui, dans la grande majorité, ne veut plus du pouvoir en place et il y a une agrégation des colères des luttes.”En savoir plus
Invités de C l’hebdo, Mariam Pirzadeh, journaliste à France 24, ancienne correspondante en Iran et Farid Vahid, directeur de l'Observatoire de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient à la fondation Jean-Jaurès. En Iran, la mobilisation ne faiblit pas et la répression par le pouvoir est violente. Les manifestations peuvent-elle aboutir à une révolution ? “Contrairement à 2009 et 2019, c’est un mouvement politique, sociétal, féministe, mais qui vise l’ADN du régime, la République islamique”, explique Farid Vahid. “C’est un mouvement qui touche toutes les classes sociales.”“On rentre dans la quatrième semaine de contestation et on a l’impression que chaque jour ils sont encore plus déterminés et nombreux dans les rues”, assure Mariam Pirzadeh, qui n’est pas surprise par cette colère. “J’ai senti la colère montée”, ajoute la journaliste. “Vous avez une rue iranienne qui, dans la grande majorité, ne veut plus du pouvoir en place et il y a une agrégation des colères des luttes.”
Présenté par :
Ali Baddou