C’était un moment attendu, Gérald Darmanin devant l’Assemblée nationale et le Sénat sur le maintien de l’ordre en France. Il a réaffirmé son rejet de l'expression "violences policières". Pour lui les policiers utilisent la force pour protéger mais on ne peut pas parler de violences. Il a réfuté l'existence de ces violences devant l'Assemblée nationale, y compris au sujet des manifestations de Sainte-Soline. Pour le ministre l'extrême gauche est à l'origine d'un "terrorisme intellectuel" sur ces questions, des propos qui n'ont pas manqué de faire réagir. Une nouvelle polémique est née de cette allocution alors que Gérald Darmanin s'interroge sur le maintien des subventions qui financent de la Ligue des droits de l'Homme.
C’était un moment attendu, Gérald Darmanin devant l’Assemblée nationale et le Sénat sur le maintien de l’ordre en France. Il a réaffirmé son rejet de l'expression "violences policières". Pour lui les policiers utilisent la force pour protéger mais on ne peut pas parler de violences. Il a réfuté l'existence de ces violences devant l'Assemblée nationale, y compris au sujet des manifestations de Sainte-Soline. Pour le ministre l'extrême gauche est à l'origine d'un "terrorisme intellectuel" sur ces questions, des propos qui n'ont pas manqué de faire réagir. Une nouvelle polémique est née de cette allocution alors que Gérald Darmanin s'interroge sur le maintien des subventions qui financent de la Ligue des droits de l'Homme.
Présenté par : Anne-Elisabeth Lemoine, Patrick Cohen, Pierre Lescure, Mohamed Bouhafsi, Matthieu Belliard, Emilie Tran Nguyen, Bertrand Chameroy
