En Ukraine, la guerre risque-t-elle de s’enliser sans le renfort de chars à l’armée ukrainienne ? Michel Goya, ancien colonel des troupes de marine et historien militaire, analyse ce sujet de crispation entre alliés. “L’idée d’avoir à nouveau des chars allemands dans les plaines de Kharkiv, avec des chars à croix noirs, c’est du pain béni pour la propagande russe [...] Le retour des nazis en Ukraine.” L’argument de franchir la ligne rouge et de devenir cobelligérant est l’autre argument invoqué contre la livraison de chars. “On a eu peur, légitime, de provoquer une escalade avec la Russie donc on s’est autolimité depuis le début dans l’envoi de nos moyens” rappelle Michel Goya. “On ne sera cobelligérant que s’il y a des troupes françaises qui combattent des troupes russes et ce n’est pas du tout envisagé.”
En Ukraine, la guerre risque-t-elle de s’enliser sans le renfort de chars à l’armée ukrainienne ? Michel Goya, ancien colonel des troupes de marine et historien militaire, analyse ce sujet de crispation entre alliés. “L’idée d’avoir à nouveau des chars allemands dans les plaines de Kharkiv, avec des chars à croix noirs, c’est du pain béni pour la propagande russe [...] Le retour des nazis en Ukraine.” L’argument de franchir la ligne rouge et de devenir cobelligérant est l’autre argument invoqué contre la livraison de chars. “On a eu peur, légitime, de provoquer une escalade avec la Russie donc on s’est autolimité depuis le début dans l’envoi de nos moyens” rappelle Michel Goya. “On ne sera cobelligérant que s’il y a des troupes françaises qui combattent des troupes russes et ce n’est pas du tout envisagé.”
Présenté par : Anne-Elisabeth Lemoine, Patrick Cohen, Bertrand Chameroy, Pierre Lescure, Emilie Tran Nguyen, Mohamed Bouhafsi, Matthieu Belliard
