À Dnipro, les Russes ont tiré une cinquantaine de missiles le jour du Nouvel An orthodoxe qui aurait dû être une fête. Un immeuble résidentiel a été bombardé samedi, le bilan s’élève à 40 morts et 75 blessés, mais pourrait s’alourdir. La présidence de l’Union européenne a dénoncé cette frappe de crime de guerre. “Un de plus” réagit Nicolas Tenzer, directeur de la publication du bimensuel “Desk Russie”, enseignant à Sciences Po et spécialiste des questions internationales, invité de C à vous. “Il faut rappeler que 97% des cibles des missiles russes visaient des civils ou des infrastructures civiles pour semer la terreur, pour détruire. Il y a clairement derrière une intention génocidaire.”
À Dnipro, les Russes ont tiré une cinquantaine de missiles le jour du Nouvel An orthodoxe qui aurait dû être une fête. Un immeuble résidentiel a été bombardé samedi, le bilan s’élève à 40 morts et 75 blessés, mais pourrait s’alourdir. La présidence de l’Union européenne a dénoncé cette frappe de crime de guerre. “Un de plus” réagit Nicolas Tenzer, directeur de la publication du bimensuel “Desk Russie”, enseignant à Sciences Po et spécialiste des questions internationales, invité de C à vous. “Il faut rappeler que 97% des cibles des missiles russes visaient des civils ou des infrastructures civiles pour semer la terreur, pour détruire. Il y a clairement derrière une intention génocidaire.”
Présenté par : Anne-Elisabeth Lemoine, Patrick Cohen, Bertrand Chameroy, Pierre Lescure, Emilie Tran Nguyen, Mohamed Bouhafsi, Matthieu Belliard
