Le Premier ministre affirmait dimanche 14 mars "qu’il fallait avoir confiance dans le vaccin AstraZeneca", Emmanuel Macron a annoncé ce lundi 15 mars une "suspendre temporairement l’utilisation de ce produit". Depuis plusieurs jours, ce dernier fait polémique car des caillots sanguins se seraient formés chez certains patients après l’injection. Jean-Daniel Lelièvre, chef du service d’immunologie de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, soutient la position du président de la République. "C’était la décision à prendre. On voit que tous les pays ont arrêté la campagne de vaccination avec l’AstraZeneca. Ça aurait été difficile pour la France de continuer toute seule au sein de l’Union européenne", déclare le médecin.
Le Premier ministre affirmait dimanche 14 mars "qu’il fallait avoir confiance dans le vaccin AstraZeneca", Emmanuel Macron a annoncé ce lundi 15 mars une "suspendre temporairement l’utilisation de ce produit". Depuis plusieurs jours, ce dernier fait polémique car des caillots sanguins se seraient formés chez certains patients après l’injection.
Jean-Daniel Lelièvre, chef du service d’immunologie de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, soutient la position du président de la République. "C’était la décision à prendre. On voit que tous les pays ont arrêté la campagne de vaccination avec l’AstraZeneca. Ça aurait été difficile pour la France de continuer toute seule au sein de l’Union européenne", déclare le médecin.
Présenté par : Anne-Elisabeth Lemoine, Patrick Cohen, Emilie Tran NGuyen, Pierre Lescure, Marion Ruggieri, Antoine Genton
