La décision de ne pas reconfiner, mais plutôt de durcir les dispositifs déjà en place est risquée car incertaine. Cependant, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal explique que la spécificité de "cette épidémie est qu’elle est incertaine pour le monde entier". Un paramètre qui a dû peser très lourd dans la balance est le taux d’acceptabilité des Français des mesures sanitaires. Alors que 93% de la population était favorable au premier confinement, aujourd’hui, face à l’hypothèse d’un troisième, on peine à attendre les 50%. Sans oublier, la colère des restaurateurs, entre autres qui monte et se manifeste par des ouvertures clandestines. "Ce qui a compté dans la décision, ce sont les trois facteurs que vous avez exposés ; les raisons de santé, de psychologie et des raisons économiques", précise Gabriel Attal.
La décision de ne pas reconfiner, mais plutôt de durcir les dispositifs déjà en place est risquée car incertaine. Cependant, le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal explique que la spécificité de "cette épidémie est qu’elle est incertaine pour le monde entier".
Un paramètre qui a dû peser très lourd dans la balance est le taux d’acceptabilité des Français des mesures sanitaires. Alors que 93% de la population était favorable au premier confinement, aujourd’hui, face à l’hypothèse d’un troisième, on peine à attendre les 50%. Sans oublier, la colère des restaurateurs, entre autres qui monte et se manifeste par des ouvertures clandestines. "Ce qui a compté dans la décision, ce sont les trois facteurs que vous avez exposés ; les raisons de santé, de psychologie et des raisons économiques", précise Gabriel Attal.
Présenté par : Anne-Elisabeth Lemoine, Patrick Cohen, Emilie Tran NGuyen, Pierre Lescure, Marion Ruggieri, Antoine Genton
