Un déconfinement qui ne dit pas son nom ?
C à vous- 18 min 50 s
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Mardi 24 novembre, Emmanuel Macron doit s’exprimer, une fois de plus, face aux Français. Sa mission : trouver les bons mots face à un deuxième confinement et une crise économique et sociale qui touche le pays.
Le chef de l’État a déclaré le week-end dernier que "rien n’est pire que l’incertitude," dans le JDD.
Nicolas Beytout, directeur du journal L’Opinion a écrit dans son édito que "le président est sous la pression de l’opinion."
Invité sur le plateau de C à vous, il poursuit : "la réalité de l’épidémie est, probablement, différente de ce qu’elle était lors de la première vague. Les Français, en tous cas, en ont une perception différente."
Samedi 21 novembre, une fête clandestine s’est déroulée dans le XIIIème arrondissement de Paris et a été revendiquée par son organisateur malgré les 15 000 euros d’amende et les un an de prison encouru.
Gilbert Deray, chef du service néphrologie de l’Hôpital de la Pitié-Salpêtrière ressent "qu’il y avait une sorte d’unanimité en mars-avril qui était claire pour tout le monde, parce que personne n’avait remis en question le confinement et que maintenant, tout a volé en éclats." "La peur du virus est beaucoup moins importante que la peur des conséquences," déclare-t-il sur le plateau de C à vous.
Présenté par : Anne-Elisabeth Lemoine, Patrick Cohen, Emilie Tran Nguyen, Pierre Lescure, Marion Ruggieri, Antoine Genton