Frappé par la crise sanitaire, Renault a supprimé 4600 postes en France et ferme son site de Choisy-le-Roi. Jordan Bardella, vice-président du Rassemblement national, défend l'interventionnisme de l'État. "Ce groupe qui va bénéficier d'argent publique, du soutien de l'État dans le cadre de la relance, va supprimer des emplois, je trouve que c'est profondément scandaleux et il est temps de se doter en France de politiques industrielles", déclare le député européenn.
Frappé par la crise sanitaire, Renault a supprimé 4600 postes en France et ferme son site de Choisy-le-Roi. Jordan Bardella, vice-président du Rassemblement national, défend l'interventionnisme de l'État.
"Ce groupe qui va bénéficier d'argent publique, du soutien de l'État dans le cadre de la relance, va supprimer des emplois, je trouve que c'est profondément scandaleux et il est temps de se doter en France de politiques industrielles", déclare le député européenn.
