Depuis dix ans les stocks de masques ont fondu pour en arriver à la pénurie actuelle. Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital Georges-Pompidou à Paris, revient sur cette "faillite" et insiste sur la nécessité de se préparer à l'éventualité d'une nouvelle épidémie. "Il faut à la fois des stocks stratégiques, on parle des masques mais se sont aussi des surblouses dont on a manqué, et il faut une capacité de production locale", affirme le médecin qui met en cause le niveau de compétence des conseillers des ministres. La situation est apaisée aux urgences concernant les patients Covid-19 selon Philippe Juvin. Mais d'autres patients qui ont retardé leurs soins arrivent en catastrophe à l'hôpital. Le déconfinement est-il trop rapide ? "Si la deuxième vague arrive il faut qu'on soit prêt", clame le chef des urgences de l'hôpital Georges-Pompidou, qui en appelle à la responsabilité des Français pour porter un masque tout le temps et pour tout le monde.
Depuis dix ans les stocks de masques ont fondu pour en arriver à la pénurie actuelle. Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital Georges-Pompidou à Paris, revient sur cette "faillite" et insiste sur la nécessité de se préparer à l'éventualité d'une nouvelle épidémie. "Il faut à la fois des stocks stratégiques, on parle des masques mais se sont aussi des surblouses dont on a manqué, et il faut une capacité de production locale", affirme le médecin qui met en cause le niveau de compétence des conseillers des ministres.
La situation est apaisée aux urgences concernant les patients Covid-19 selon Philippe Juvin. Mais d'autres patients qui ont retardé leurs soins arrivent en catastrophe à l'hôpital. Le déconfinement est-il trop rapide ? "Si la deuxième vague arrive il faut qu'on soit prêt", clame le chef des urgences de l'hôpital Georges-Pompidou, qui en appelle à la responsabilité des Français pour porter un masque tout le temps et pour tout le monde.
