Le gouvernement travaille sur une application de tracking "Stop Covid" sans obligation de téléchargement. Cette application ne demanderait pas l’activation de la géolocalisation mais fonctionnerait grâce au Bluetooth. Le téléphone mémorise les personnes approchées et si un cas positif se déclare, l’application émet une alerte qui invite l'utilisateur à se faire tester. Il s’agirait d’une aide personnelle à la vie sociale, un outil numérique à la surveillance globale. Par la voix de Sibeth Ndiaye, le gouvernement réfute l'idée d'un tracking de masse et explique qu'en cas de développement de l'application il n'y aura pas de récupération des données personnelles. Sacha Houlié, député LREM de la Vienne, s’oppose à un suivi localisé : "13 millions de nos concitoyens ne sont pas équipés d’objets connectés donc on exclurait un quart de la population qu’on condamnerait de fait."
Le gouvernement travaille sur une application de tracking "Stop Covid" sans obligation de téléchargement. Cette application ne demanderait pas l’activation de la géolocalisation mais fonctionnerait grâce au Bluetooth. Le téléphone mémorise les personnes approchées et si un cas positif se déclare, l’application émet une alerte qui invite l'utilisateur à se faire tester. Il s’agirait d’une aide personnelle à la vie sociale, un outil numérique à la surveillance globale.
Par la voix de Sibeth Ndiaye, le gouvernement réfute l'idée d'un tracking de masse et explique qu'en cas de développement de l'application il n'y aura pas de récupération des données personnelles. Sacha Houlié, député LREM de la Vienne, s’oppose à un suivi localisé : "13 millions de nos concitoyens ne sont pas équipés d’objets connectés donc on exclurait un quart de la population qu’on condamnerait de fait."
