Frédéric Beigbeder flingue à tout va. Ces cibles ? Une société qui aime rire et ricaner de tout. France Inter lui a offert une tribune hebdomadaire pendant deux ans. Il a arrêté de rire en novembre 2018 après une chronique ratée. L'écrivain publie un pamphlet sans titre avec un emoji en couverture. En prenant comme point de départ son licenciement, il s'attaque à la dictature du rire. L'ancien chroniqueur s'exprime également sur l'affaire Matzneff qui a défrayé le milieu de l'édition avec le livre "Le consentement".
Frédéric Beigbeder flingue à tout va. Ces cibles ? Une société qui aime rire et ricaner de tout. France Inter lui a offert une tribune hebdomadaire pendant deux ans. Il a arrêté de rire en novembre 2018 après une chronique ratée. L'écrivain publie un pamphlet sans titre avec un emoji en couverture. En prenant comme point de départ son licenciement, il s'attaque à la dictature du rire. L'ancien chroniqueur s'exprime également sur l'affaire Matzneff qui a défrayé le milieu de l'édition avec le livre "Le consentement".
