En mars dernier, c'est un mouvement inédit qui était initié par le collectif inter-urgence, englobant 268 établissements de santé. Le 14 novembre, le mouvement s'est étendu au-delà des urgences, mobilisant tous les corps de métier : médecins, personnel soignant, cadres hospitaliers, doyens, étudiants. Ils étaient tous dans la rue pour sauver l'hôpital. Gérald Kierzek, médecin urgentiste à l'Hôpital Hôtel-Dieu à Paris et le professeur Frédéric Adnet, chef de service des urgences de l'hôpital Avicenne, sont sur le plateau pour parler de la situation.
En mars dernier, c'est un mouvement inédit qui était initié par le collectif inter-urgence, englobant 268 établissements de santé. Le 14 novembre, le mouvement s'est étendu au-delà des urgences, mobilisant tous les corps de métier : médecins, personnel soignant, cadres hospitaliers, doyens, étudiants. Ils étaient tous dans la rue pour sauver l'hôpital.
Gérald Kierzek, médecin urgentiste à l'Hôpital Hôtel-Dieu à Paris et le professeur Frédéric Adnet, chef de service des urgences de l'hôpital Avicenne, sont sur le plateau pour parler de la situation.
