Golshifteh Farahani joue une femme accusée de sorcellerie dans le film "Roqya" qui sort au cinéma le mercredi 15 mai 2024, un rôle qui fait largement écho à son histoire de femme libre et insoumise. À l'écran, l'actrice incarne Nour, une jeune femme qui vit de la contrebande d'animaux exotiques qu'elle vend à des guérisseurs. Un jour, après la mort d'un jeune homme dans son quartier, elle est accusée sorcellerie et pourchassée par les habitants qui veulent la séparer de son fils. Une chasse aux sorcières des temps modernes, accélérée par les réseaux sociaux dans laquelle Golshifteh Farahani joue l'un de ses rôles les plus physiques, une très bonne chose selon elle, qui aime jouer ses propres cascades. Le film vient également interroger nos croyances et la façon dont certains se détournent de la médecine pour aller vers d'autres pratiques. C'est un film qui vient interroger nos croyances et la façon dont certains se détournent de la médecine pour aller vers d'autres pratiques.
Golshifteh Farahani joue une femme accusée de sorcellerie dans le film "Roqya" qui sort au cinéma le mercredi 15 mai 2024, un rôle qui fait largement écho à son histoire de femme libre et insoumise. À l'écran, l'actrice incarne Nour, une jeune femme qui vit de la contrebande d'animaux exotiques qu'elle vend à des guérisseurs. Un jour, après la mort d'un jeune homme dans son quartier, elle est accusée sorcellerie et pourchassée par les habitants qui veulent la séparer de son fils. Une chasse aux sorcières des temps modernes, accélérée par les réseaux sociaux dans laquelle Golshifteh Farahani joue l'un de ses rôles les plus physiques, une très bonne chose selon elle, qui aime jouer ses propres cascades.
Le film vient également interroger nos croyances et la façon dont certains se détournent de la médecine pour aller vers d'autres pratiques.
C'est un film qui vient interroger nos croyances et la façon dont certains se détournent de la médecine pour aller vers d'autres pratiques.
