À 45 ans, Fabrice Eboué a l’impression d’en avoir 90 ! Il est effondré, épuisé, accablé face à une époque qu’il ne comprend plus, un monde dans lequel on surprotège ses enfants baptisés Balthazar, Gauvin, Hector ou encore Ours-Henry. C’est le thème abordé dans son nouveau spectacle "Adieu hier" en tournée dans la toute la France. "J’ai toujours été vieux. Dès l’adolescence, je me suis toujours senti un peu dépassé et c'est pour ça que ça m’a permis d’essayer d’être drôle, d’être un peu en dehors du coup. Il faut être spectateur de tout ça pour en avoir les défauts et les aspérités" explique l’humoriste, loin d’être en accord avec l’époque dans laquelle il s’inscrit. Pour Fabrice Eboué, la génération Y affronte la génération Z, ces jeunes ultra connectés qui ont grandi à l’ère du numérique : "Je me sens plus proche d’un homme de 90 ans en EHPAD que d’un jeune de 20 ans d’aujourd’hui parce qu’on a plus de choses en commun à partager" poursuit notre invité. Et si c’était mieux avant ? Avec Fabrice Eboué
À 45 ans, Fabrice Eboué a l’impression d’en avoir 90 ! Il est effondré, épuisé, accablé face à une époque qu’il ne comprend plus, un monde dans lequel on surprotège ses enfants baptisés Balthazar, Gauvin, Hector ou encore Ours-Henry. C’est le thème abordé dans son nouveau spectacle "Adieu hier" en tournée dans la toute la France. "J’ai toujours été vieux. Dès l’adolescence, je me suis toujours senti un peu dépassé et c'est pour ça que ça m’a permis d’essayer d’être drôle, d’être un peu en dehors du coup. Il faut être spectateur de tout ça pour en avoir les défauts et les aspérités" explique l’humoriste, loin d’être en accord avec l’époque dans laquelle il s’inscrit. Pour Fabrice Eboué, la génération Y affronte la génération Z, ces jeunes ultra connectés qui ont grandi à l’ère du numérique : "Je me sens plus proche d’un homme de 90 ans en EHPAD que d’un jeune de 20 ans d’aujourd’hui parce qu’on a plus de choses en commun à partager" poursuit notre invité.
