Anne Fulda, grand reporter au Figaro, a du flair. En 1995, elle est l’une des seules à suivre la campagne présidentielle de Jacques Chirac alors que tous les regards étaient braqués sur Édouard Balladur. Même scénario en 2016, où elle préfère écrire sur Emmanuel Macron plutôt que sur François Fillon. Aujourd’hui, elle publie "Mes très chers monstres" aux éditions de l’Observatoire, avec des portraits de Gérard Depardieu, Alain Delon ou encore Karl Lagerfeld. Frédéric Mitterrand a, lui aussi, écrit sur des présidents, mais aussi sur d’immenses stars, comme Audrey Hepburn, dont son introduction l’a ému jusqu’aux larmes. Ancien ministre de la Culture, il publie son journal de confinement, "Une drôle de guerre", chez Robert Laffont, et y raconte, notamment, le combat de son frère contre la Covid-19.
Anne Fulda, grand reporter au Figaro, a du flair. En 1995, elle est l’une des seules à suivre la campagne présidentielle de Jacques Chirac alors que tous les regards étaient braqués sur Édouard Balladur. Même scénario en 2016, où elle préfère écrire sur Emmanuel Macron plutôt que sur François Fillon. Aujourd’hui, elle publie "Mes très chers monstres" aux éditions de l’Observatoire, avec des portraits de Gérard Depardieu, Alain Delon ou encore Karl Lagerfeld.
Frédéric Mitterrand a, lui aussi, écrit sur des présidents, mais aussi sur d’immenses stars, comme Audrey Hepburn, dont son introduction l’a ému jusqu’aux larmes. Ancien ministre de la Culture, il publie son journal de confinement, "Une drôle de guerre", chez Robert Laffont, et y raconte, notamment, le combat de son frère contre la Covid-19.
