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Laurent Garnier au festival Yeah!
Festival Yeah! 2018- Arts & spectacles
- 1 h 35 min
- indisponible
- tous publics
Laurent Garnier peut se targuer d'être l'un des pionniers de la techno à la française et des premières rave party hexagonales. Mi-mai 2015, le pétillant (futur) quinquagénaire a sorti "Home Box", album synthétisant ses dernières créations musicales sorties en 2014 sur différents labels. On y découvre également quelques inédits, le tout publié sur quatre vinyles. Loin d'une musique électronique mainstream, l'ancien valet de pied de l'Ambassade de France à Londres confiait en 2015 à l'AFP avoir toujours « envie de continuer à s'étonner », au risque de « prendre parfois les gens à rebrousse-poils ». Écoutez le tube "Crispy Bacon" de Laurent Garnier : [[asset:video:203093 {"mode":"in_body","align":"none"}]] Laurent Garnier est un boulimique. Éternel perfectionniste, le musicien ne se contente pas de ses platines et multiplie les casquettes. Compositeur pour le cinéma (la bande originale du film d'Abd Al Malik, "Qu'Allah bénisse la France", c'est lui), mais également pour la danse (avec des ballets de Marie-claude Pietragalla et Angelin Preljocaj), ce fils de forains a dirigé un label (le très exigeant FCom), "importé" le son de Detroit et Chicago en France et s'est attelé dès 2013 à organiser un festival de musique électronique "indé" à Lourmarin, dans le Vaucluse. Entre autre faits d'arme, on peut considérer Laurent Garnier comme le premier ambassadeur de la French Touch à l'étranger. > En décembre 2012, Laurent Garnier confiait ses envies, ses coups de coeur et projets à Culturebox : lire l'interview. Avec le recul et la force que lui confère son statut d'icône, Laurent Garnier, même s'il a toujours un oeil rivé sur l'avenir, joue l'introspection et écrit l'adaptation pour le cinéma de son autobiographie "Électrochoc", co-signée avec le journaliste David Brun-Lambert et parue en 2003, puis rééditée en 2013. Pour Alcaline Le Mag, Laurent Garnier évoque la sortie du coffret "Home Box", la fench touch et son statut d'icône : [[asset:video:203095 {"mode":"in_body","align":"none"}]] En mai 2015, le DJ touche-à-tout revenait, dans une interview au mensuel Tsugi, sur son attachement à Lourmarin, sa ville d'adoption, théâtre de ses talents (et de ceux de ses multiples coups de coeur artistiques) : « C’est un petit village plein de vie et pour le célébrer, lui et ses habitants, on a eu l’idée avec deux copains d’organiser le festival Yeah!. Lourmarin c’est un peu le village d’Astérix, une enclave festive dans laquelle on organise des concerts, des expos, etc. [...] L’idée n’est pas de faire un énorme festival de techno et de tout thrasher pour se mettre tout le village à dos. On avait envie de s’adresser à un public de trentenaires avec des mômes. On a donc pensé un festival à taille humaine, ouvert à 1 000 personnes max, se déroulant sur les terrasses du château. Le lieu est magnifique, la vue est à couper le souffle et tout est ultra safe, les gamins peuvent courir dans tous les sens sans problème. Lourmarin, c’est un village très ouvert avec lequel on a envie de travailler de façon pérenne. On veut que tout le monde soit content et participe à l’aventure, c’est pour ça que l’on favorise le travail local. J’ai la chance de rencontrer des gens dans le monde entier et j’ai envie d’en faire profiter le village qui m’a accueilli, simple retour des choses. »
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Laurent Garnier peut se targuer d'être l'un des pionniers de la techno à la française et des premières rave party hexagonales. Mi-mai 2015, le pétillant (futur) quinquagénaire a sorti "Home Box", album synthétisant ses dernières créations musicales sorties en 2014 sur différents labels. On y découvre également quelques inédits, le tout publié sur quatre vinyles. Loin d'une musique électronique mainstream, l'ancien valet de pied de l'Ambassade de France à Londres confiait en 2015 à l'AFP avoir toujours « envie de continuer à s'étonner », au risque de « prendre parfois les gens à rebrousse-poils ». Écoutez le tube "Crispy Bacon" de Laurent Garnier : [[asset:video:203093 {"mode":"in_body","align":"none"}]] Laurent Garnier est un boulimique. Éternel perfectionniste, le musicien ne se contente pas de ses platines et multiplie les casquettes. Compositeur pour le cinéma (la bande originale du film d'Abd Al Malik, "Qu'Allah bénisse la France", c'est lui), mais également pour la danse (avec des ballets de Marie-claude Pietragalla et Angelin Preljocaj), ce fils de forains a dirigé un label (le très exigeant FCom), "importé" le son de Detroit et Chicago en France et s'est attelé dès 2013 à organiser un festival de musique électronique "indé" à Lourmarin, dans le Vaucluse. Entre autre faits d'arme, on peut considérer Laurent Garnier comme le premier ambassadeur de la French Touch à l'étranger. > En décembre 2012, Laurent Garnier confiait ses envies, ses coups de coeur et projets à Culturebox : lire l'interview. Avec le recul et la force que lui confère son statut d'icône, Laurent Garnier, même s'il a toujours un oeil rivé sur l'avenir, joue l'introspection et écrit l'adaptation pour le cinéma de son autobiographie "Électrochoc", co-signée avec le journaliste David Brun-Lambert et parue en 2003, puis rééditée en 2013. Pour Alcaline Le Mag, Laurent Garnier évoque la sortie du coffret "Home Box", la fench touch et son statut d'icône : [[asset:video:203095 {"mode":"in_body","align":"none"}]] En mai 2015, le DJ touche-à-tout revenait, dans une interview au mensuel Tsugi, sur son attachement à Lourmarin, sa ville d'adoption, théâtre de ses talents (et de ceux de ses multiples coups de coeur artistiques) : « C’est un petit village plein de vie et pour le célébrer, lui et ses habitants, on a eu l’idée avec deux copains d’organiser le festival Yeah!. Lourmarin c’est un peu le village d’Astérix, une enclave festive dans laquelle on organise des concerts, des expos, etc. [...] L’idée n’est pas de faire un énorme festival de techno et de tout thrasher pour se mettre tout le village à dos. On avait envie de s’adresser à un public de trentenaires avec des mômes. On a donc pensé un festival à taille humaine, ouvert à 1 000 personnes max, se déroulant sur les terrasses du château. Le lieu est magnifique, la vue est à couper le souffle et tout est ultra safe, les gamins peuvent courir dans tous les sens sans problème. Lourmarin, c’est un village très ouvert avec lequel on a envie de travailler de façon pérenne. On veut que tout le monde soit content et participe à l’aventure, c’est pour ça que l’on favorise le travail local. J’ai la chance de rencontrer des gens dans le monde entier et j’ai envie d’en faire profiter le village qui m’a accueilli, simple retour des choses. »