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"Norma" de Vincenzo Bellini au Teatro La Fenice
Teatro La Fenice- Arts & spectacles
- 2 h 42 min
- indisponible
- tous publics
La soprano Mariella Devia se pare des atours de la mythique Norma pour faire ses adieux à l’opéra ! C’est un trésor du répertoire lyrique, “Norma” de Vincenzo Bellini, qui est donné dans le splendide Teatro La Fenice à Venise. Une production mise en scène par l’artiste Kara Walker, avec la grande Mariella Devia en prima donna. Créé en 1831 à La Scala de Milan, “Norma” est un opéra en deux actes composé par l’italien Vincenzo Bellini sur un livret de Felice Romani, lui-même inspiré de la tragédie française d’Alexandre Soumet, "Norma ou l'infanticide". Si ce monument de la période romantique italienne est incontestablement l’un des plus joués au monde, c’est aussi l’un des plus difficiles en raison de l’inventivité de Bellini, imposant technique et endurance vocales au rôle-titre. Ce dernier fut brillamment endossé par Maria Callas en 1954. L’intrigueAlors que la Gaule subit l’occupation romaine, Norma, grande prêtresse gauloise qui a fait vœu de chasteté, tombe éperdument amoureuse du proconsul romain Pollione avec qui elle a deux enfants. Lorsqu’elle apprend que celui-ci l'a délaissée pour séduire une autre druidesse Adalgisa, elle prend une décision irréversible qui la conduira au sacrifice. À la fois prêtresse hiératique, amante abandonnée, mère et martyre, Norma est tout à la fois majestueuse, ardente et désespérée. La soiréePour sa dernière apparition à l'opéra, la cantatrice Mariella Devia interprète Norma considéré comme le "rôle des rôles", aux côtés de Stefan Pop qui incarne Pollione. Ils sont accompagnés en musique par l’Orchestra e Coro du Teatro La Fenice dirigé par le chef d’orchestre Riccardo Frizza. La mise en scène, la scénographie et les costumes sont signés par l’artiste plasticienne américaine Kara Walker, connue pour ses installations de silhouettes de papier explorant les problématiques raciales et l'histoire de l’esclavage. Portée par la volonté de questionner l’identité collective tout en mettant en lumière la contemporanéité de l'œuvre, Kara Walker place l’intrigue en Afrique subsaharienne, l'inscrivant plus largement dans l’histoire de la colonisation.
En savoir plus La soprano Mariella Devia se pare des atours de la mythique Norma pour faire ses adieux à l’opéra !
C’est un trésor du répertoire lyrique, “Norma” de Vincenzo Bellini, qui est donné dans le splendide Teatro La Fenice à Venise. Une production mise en scène par l’artiste Kara Walker, avec la grande Mariella Devia en prima donna.
Créé en 1831 à La Scala de Milan, “Norma” est un opéra en deux actes composé par l’italien Vincenzo Bellini sur un livret de Felice Romani, lui-même inspiré de la tragédie française d’Alexandre Soumet, "Norma ou l'infanticide". Si ce monument de la période romantique italienne est incontestablement l’un des plus joués au monde, c’est aussi l’un des plus difficiles en raison de l’inventivité de Bellini, imposant technique et endurance vocales au rôle-titre. Ce dernier fut brillamment endossé par Maria Callas en 1954.
L’intrigueAlors que la Gaule subit l’occupation romaine, Norma, grande prêtresse gauloise qui a fait vœu de chasteté, tombe éperdument amoureuse du proconsul romain Pollione avec qui elle a deux enfants. Lorsqu’elle apprend que celui-ci l'a délaissée pour séduire une autre druidesse Adalgisa, elle prend une décision irréversible qui la conduira au sacrifice. À la fois prêtresse hiératique, amante abandonnée, mère et martyre, Norma est tout à la fois majestueuse, ardente et désespérée.
La soiréePour sa dernière apparition à l'opéra, la cantatrice Mariella Devia interprète Norma considéré comme le "rôle des rôles", aux côtés de Stefan Pop qui incarne Pollione. Ils sont accompagnés en musique par l’Orchestra e Coro du Teatro La Fenice dirigé par le chef d’orchestre Riccardo Frizza. La mise en scène, la scénographie et les costumes sont signés par l’artiste plasticienne américaine Kara Walker, connue pour ses installations de silhouettes de papier explorant les problématiques raciales et l'histoire de l’esclavage. Portée par la volonté de questionner l’identité collective tout en mettant en lumière la contemporanéité de l'œuvre, Kara Walker place l’intrigue en Afrique subsaharienne, l'inscrivant plus largement dans l’histoire de la colonisation.
C’est un trésor du répertoire lyrique, “Norma” de Vincenzo Bellini, qui est donné dans le splendide Teatro La Fenice à Venise. Une production mise en scène par l’artiste Kara Walker, avec la grande Mariella Devia en prima donna.
Créé en 1831 à La Scala de Milan, “Norma” est un opéra en deux actes composé par l’italien Vincenzo Bellini sur un livret de Felice Romani, lui-même inspiré de la tragédie française d’Alexandre Soumet, "Norma ou l'infanticide". Si ce monument de la période romantique italienne est incontestablement l’un des plus joués au monde, c’est aussi l’un des plus difficiles en raison de l’inventivité de Bellini, imposant technique et endurance vocales au rôle-titre. Ce dernier fut brillamment endossé par Maria Callas en 1954.
L’intrigueAlors que la Gaule subit l’occupation romaine, Norma, grande prêtresse gauloise qui a fait vœu de chasteté, tombe éperdument amoureuse du proconsul romain Pollione avec qui elle a deux enfants. Lorsqu’elle apprend que celui-ci l'a délaissée pour séduire une autre druidesse Adalgisa, elle prend une décision irréversible qui la conduira au sacrifice. À la fois prêtresse hiératique, amante abandonnée, mère et martyre, Norma est tout à la fois majestueuse, ardente et désespérée.
La soiréePour sa dernière apparition à l'opéra, la cantatrice Mariella Devia interprète Norma considéré comme le "rôle des rôles", aux côtés de Stefan Pop qui incarne Pollione. Ils sont accompagnés en musique par l’Orchestra e Coro du Teatro La Fenice dirigé par le chef d’orchestre Riccardo Frizza. La mise en scène, la scénographie et les costumes sont signés par l’artiste plasticienne américaine Kara Walker, connue pour ses installations de silhouettes de papier explorant les problématiques raciales et l'histoire de l’esclavage. Portée par la volonté de questionner l’identité collective tout en mettant en lumière la contemporanéité de l'œuvre, Kara Walker place l’intrigue en Afrique subsaharienne, l'inscrivant plus largement dans l’histoire de la colonisation.