C’est une histoire d’amour qui dure depuis plus d’un siècle. Les annonceurs ont très vite compris le potentiel unique du métropolitain. Très vite, la pub s’est immiscée partout : couloirs, quais, intérieur des rames… jusqu’au dos du ticket de métro. Depuis 1949, une seule et même régie gère ce petit eldorado de la réclame où tous les coups publicitaires semblent permis. Avec, à la clé 150M€ de chiffres d’affaires annuel. Alors à quoi sert cette somme rondelette ? Entretien avec la directrice générale de Mediatransports, Valérie Décamp. Petit à petit, l’affichage traditionnel laisse la place à une publicité beaucoup plus énergivore : les écrans se multiplient en sous-sol mais le numérique pose de nombreuses questions. Suscite de nombreuses interrogations : respect de la vie privée, sobriété énergétique… Enfin, nous verrons avec les anti-pubs si un métro vierge de toute publicité est souhaitable ou possible. Thomas Bourgenot, chargé de plaidoyer au RAP (Résistance à l’agression publicitaire) est notre invité
C’est une histoire d’amour qui dure depuis plus d’un siècle. Les annonceurs ont très vite compris le potentiel unique du métropolitain. Très vite, la pub s’est immiscée partout : couloirs, quais, intérieur des rames… jusqu’au dos du ticket de métro.
Depuis 1949, une seule et même régie gère ce petit eldorado de la réclame où tous les coups publicitaires semblent permis. Avec, à la clé 150M€ de chiffres d’affaires annuel. Alors à quoi sert cette somme rondelette ? Entretien avec la directrice générale de Mediatransports, Valérie Décamp.
Petit à petit, l’affichage traditionnel laisse la place à une publicité beaucoup plus énergivore : les écrans se multiplient en sous-sol mais le numérique pose de nombreuses questions. Suscite de nombreuses interrogations : respect de la vie privée, sobriété énergétique…
Enfin, nous verrons avec les anti-pubs si un métro vierge de toute publicité est souhaitable ou possible. Thomas Bourgenot, chargé de plaidoyer au RAP (Résistance à l’agression publicitaire) est notre invité
