Il y a deux ans, l’armée de terre donne son accord pour un programme de médiation canine pour les blessés de guerre psychiques. Plutôt que de former des chiens d’élevage militaire, ce qui se pratique déjà aux États-Unis ou en Allemagne, se lance une idée un peu folle : former des chiens de refuge, abandonnés ou récupérés. Loin des approches zoothérapeutiques qui visent à faire du chien un simple médicament, l’idée du projet est de favoriser la rencontre entre un blessé et un animal de refuge afin que de ces destins brisés puissent naitre des histoires de renaissance. Deux gueules cassées, un homme et un chien, qui ensemble trouvent la voie de la réinsertion. Pour en savoir plus, notre article est disponible ici.
Il y a deux ans, l’armée de terre donne son accord pour un programme de médiation canine pour les blessés de guerre psychiques. Plutôt que de former des chiens d’élevage militaire, ce qui se pratique déjà aux États-Unis ou en Allemagne, se lance une idée un peu folle : former des chiens de refuge, abandonnés ou récupérés. Loin des approches zoothérapeutiques qui visent à faire du chien un simple médicament, l’idée du projet est de favoriser la rencontre entre un blessé et un animal de refuge afin que de ces destins brisés puissent naitre des histoires de renaissance. Deux gueules cassées, un homme et un chien, qui ensemble trouvent la voie de la réinsertion.
