Après le cri d'alarme des Restos du cœur qui pourrait mettre la clé sous la porte d'ici trois ans et lancent un appel à l'aide aux donateurs publics et aux forces économiques du pays pour les aider à faire face à la pauvreté, l'inquiétude est partagée par de nombreuses associations d'aides alimentaires. C'est le cas dans le département de l'Aisne, de la Croix rouge, la banque alimentaire, le secours populaire, le secours catholique, ou les épiceries sociales. En raison de l'inflation de 5%, le nombre de bénéficiaires ne cesse d'augmenter, + 15% attendu d'ici décembre. Les associations redoutent ne pas pouvoir accueillir tous les bénéficiaires cette année, et vont être contraintes de donner moins aux bénéficiaires.
Après le cri d'alarme des Restos du cœur qui pourrait mettre la clé sous la porte d'ici trois ans et lancent un appel à l'aide aux donateurs publics et aux forces économiques du pays pour les aider à faire face à la pauvreté, l'inquiétude est partagée par de nombreuses associations d'aides alimentaires. C'est le cas dans le département de l'Aisne, de la Croix rouge, la banque alimentaire, le secours populaire, le secours catholique, ou les épiceries sociales. En raison de l'inflation de 5%, le nombre de bénéficiaires ne cesse d'augmenter, + 15% attendu d'ici décembre. Les associations redoutent ne pas pouvoir accueillir tous les bénéficiaires cette année, et vont être contraintes de donner moins aux bénéficiaires.
