Tarte à la rhubarbe meringuée de Christine Ferber
Les carnets de Julie- 4 min 15 s
- indisponible
- tous publics
Pour 10 personnes
Temps de préparation : 30 minutes
Temps de cuisson : 1h15
Temps de repos : 1 nuit
Ingrédients :
Pour la pâte :
- 250 g de farine de blé T45
- 7,5 cl d’eau
- 180 g de beurre découpé en cubes
- 2,5 g de sel
- 5 g de sucre en poudre
Pour le flan :
- 10 cl de crème liquide
- 10 cl de lait entier
- 6 œufs
- 100 g de sucre en poudre
- 800 g de belle rhubarbe
Pour la meringue :
- 120 g de sucre semoule
- 3 blancs d’œufs
• La veille, préparez la pâte : tamisez votre farine dans un saladier et ajoutez le sucre et le sel. Ajoutez-y le beurre en morceau et mélangez grossièrement pour qu’ils soient encore visibles et qu’ils donnent l’impression d’un feuilleté. Ajoutez l’eau et mélangez pour obtenir une pâte homogène. Réservez-la au frais une nuit.
• Le lendemain, étalez la pâte au rouleau et foncez votre moule préalablement garni de papier sulfurisé. Recouvrez de papier sulfurisé sur lequel vous placerez des billes ou des noyaux de fruits pour éviter que la pâte ne gonfle. Enfournez à 180°C pendant 30 minutes.
• Pendant ce temps, préparez le flan à la rhubarbe : coupez les extrémités de votre rhubarbe et retirez la première couche de peau. Coupez les tiges dans le sens de la longueur, puis coupez à nouveau chaque morceau, toujours dans la longueur. Une tige en donnera ainsi 4 autres plus fines. Enfin, coupez la rhubarbe en cubes. Et placez-les dans votre fond de tarte cuit.
• Dans un cul de poule, battez les 6 œufs et ajoutez-y le lait, la crème et le sucre. Versez le mélange sur la rhubarbe. Enfournez la tarte à 180°C pendant au moins 35 minutes.
• Pendant ce temps, montez les blancs d’œufs en neige en versant le sucre semoule en pluie. Ils doivent être bien fermes. Pochez ensuite sur la tarte votre meringue en forme de rosace et enfournez à nouveau pendant 10 minutes, toujours à 180°C.
• Dégustez votre tarte tiède.
Christine Ferber
Fille, petite fille et arrière-petite fille d’artisans boulangers, Christine Ferber, accompagnée de sa sœur, réalisait ses premiers gâteaux, un rouleau à pâtisserie et un morceau de pâte à la main. Elle passe toute son enfance dans les bonnes odeurs de pains, de tartelettes et de sablés chauds. Impensable de faire autre chose de sa vie que de la cuisine. Mais au-delà de l’héritage culinaire familial, c’est son Alsace natale qu’elle a appris à aimer, et à partager.
Présenté par : Julie Andrieu