Le 8 novembre prochain, ce qui doit être une des grandes lois du second mandat d'Emmanuel Macron : la loi Immigration sera examinée par le Sénat. Le Gouvernement a choisi en même temps fermeté et générosité : Faciliter les retours au pays tout en régularisant plus facilement pour les métiers en tension. L'exécutif cherche un compromis avec la droite mais n'exclut pas un passage en force avec le 49-3. En Bretagne, le débat sur l'immigration s'est invité clairement ces derniers mois. Tout d'abord à Callac dans les Côtes d'Armor où un projet d'accueil de réfugiés a cristallisé les oppositions de l'ultra droite pour être finalement abandonné. Et puis dans les secteurs sous tensions où le manque d'oeuvre est criant. De nombreux chefs d'entreprises réclament désormais un assouplissement des régularisations. Deux visions de la Bretagne s'opposent désormais. L'une pragmatique et hospitalière. L'autre inquiète pour son avenir. Une fracture bretonne se dessine-t-elle ?
Le 8 novembre prochain, ce qui doit être une des grandes lois du second mandat d'Emmanuel Macron : la loi Immigration sera examinée par le Sénat. Le Gouvernement a choisi en même temps fermeté et générosité : Faciliter les retours au pays tout en régularisant plus facilement pour les métiers en tension. L'exécutif cherche un compromis avec la droite mais n'exclut pas un passage en force avec le 49-3. En Bretagne, le débat sur l'immigration s'est invité clairement ces derniers mois. Tout d'abord à Callac dans les Côtes d'Armor où un projet d'accueil de réfugiés a cristallisé les oppositions de l'ultra droite pour être finalement abandonné. Et puis dans les secteurs sous tensions où le manque d'oeuvre est criant. De nombreux chefs d'entreprises réclament désormais un assouplissement des régularisations. Deux visions de la Bretagne s'opposent désormais. L'une pragmatique et hospitalière. L'autre inquiète pour son avenir. Une fracture bretonne se dessine-t-elle ?
