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Les 4 vérités - Jean-François Copé
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Chroniqueuse : Caroline Roux Caroline Roux reçoit Jean-François Copé, maire LR de Meaux, dans les 4 vérités. Le président français Emmanuel Macron réunira ce mercredi 16 février, dans la soirée, « des chefs d'État de pays partenaires » à l’Élysée, afin de discuter de la présence française au Sahel, en particulier au Mali et de la lutte contre le terrorisme, a annoncé la porte parole du gouvernement Gabriel Attal. Des annonces pourraient être faites « rapidement », a-t-il précisé. La question du départ des troupes françaises au Mali est à présent clairement posée. « Nous avons beaucoup attendu, beaucoup subi. Il est temps de reprendre la main et recomposer les forces avec les pays qui veulent mener le combat contre l’islamisme terroriste », a estimé Jean-François Copé, maire Les Républicains, de Meaux, invité des 4 Vérités, mercredi 16 février, sur France 2. Néanmoins, l’élu appelle à la solidarité avec le chef de l’Etat. « Ce sont des sujets extrêmement difficiles, nous devons être soudés face à des ennemis ». Trois jours après le grand meeting de campagne de Valérie Pécresse, au Zénith de Paris, certains sondages placent à présent Eric Zemmour en légère avance sur la candidate Les Républicains, qui elle semble marquer le pas. « Dans une campagne présidentielle, la dynamique ça va ça vient. Valérie Pécresse a reçu un tombereau d’insultes et d’injures depuis 48 heures. C’est trop d’acharnement », a estimé l’ancien ministre du budget. Selon lui, la grande part qu’occupe aujourd’hui l’extrême droite est avant tout la responsabilité de « celui qui était en charge depuis cinq ans », à savoir : Emmanuel Macron, qui tarde encore à officialiser sa candidature à l’élection présidentielle. « Il devrait être entré en campagne depuis longtemps », affirme Jean-François Copé qui appelle « la droite moderne à porter un projet ». Il l’assure : Valérie Pécresse n’entend pas arrêter les grands meetings. « Quand elle est elle-même, elle incarne cette droite moderne, forme en matière d’autorité et à la fois ouverte sur le progrès ». Élection présidentielle : que va faire Nicolas Sarkozy ? Pour l’heure, une voix se fait encore attendre : celle de l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy. Il ne s’est pas montré au meeting de Valérie Pécresse et pour le moment, n’a toujours pas publiquement manifesté son soutien à la candidate de sa propre famille politique. Pour l’élu de Meaux, la raison est plus « psychologique que politique ». « Ca doit peut-être être compliqué d’imaginer pour lui que quelqu’un à droite lui succède », a-t-il évoqué, espérant que la situation « s’apaise ». « Pour la première fois, la droite a choisi une femme pour porter ses valeurs, c’est extrêmement moderne » a-t-il conclu.
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Chroniqueuse : Caroline Roux
Caroline Roux reçoit Jean-François Copé, maire LR de Meaux, dans les 4 vérités.
Le président français Emmanuel Macron réunira ce mercredi 16 février, dans la soirée, « des chefs d'État de pays partenaires » à l’Élysée, afin de discuter de la présence française au Sahel, en particulier au Mali et de la lutte contre le terrorisme, a annoncé la porte parole du gouvernement Gabriel Attal. Des annonces pourraient être faites « rapidement », a-t-il précisé. La question du départ des troupes françaises au Mali est à présent clairement posée. « Nous avons beaucoup attendu, beaucoup subi. Il est temps de reprendre la main et recomposer les forces avec les pays qui veulent mener le combat contre l’islamisme terroriste », a estimé Jean-François Copé, maire Les Républicains, de Meaux, invité des 4 Vérités, mercredi 16 février, sur France 2. Néanmoins, l’élu appelle à la solidarité avec le chef de l’Etat. « Ce sont des sujets extrêmement difficiles, nous devons être soudés face à des ennemis ».
Trois jours après le grand meeting de campagne de Valérie Pécresse, au Zénith de Paris, certains sondages placent à présent Eric Zemmour en légère avance sur la candidate Les Républicains, qui elle semble marquer le pas. « Dans une campagne présidentielle, la dynamique ça va ça vient. Valérie Pécresse a reçu un tombereau d’insultes et d’injures depuis 48 heures. C’est trop d’acharnement », a estimé l’ancien ministre du budget. Selon lui, la grande part qu’occupe aujourd’hui l’extrême droite est avant tout la responsabilité de « celui qui était en charge depuis cinq ans », à savoir : Emmanuel Macron, qui tarde encore à officialiser sa candidature à l’élection présidentielle. « Il devrait être entré en campagne depuis longtemps », affirme Jean-François Copé qui appelle « la droite moderne à porter un projet ».
Il l’assure : Valérie Pécresse n’entend pas arrêter les grands meetings. « Quand elle est elle-même, elle incarne cette droite moderne, forme en matière d’autorité et à la fois ouverte sur le progrès ».
Élection présidentielle : que va faire Nicolas Sarkozy ?
Pour l’heure, une voix se fait encore attendre : celle de l’ancien président de la République, Nicolas Sarkozy. Il ne s’est pas montré au meeting de Valérie Pécresse et pour le moment, n’a toujours pas publiquement manifesté son soutien à la candidate de sa propre famille politique. Pour l’élu de Meaux, la raison est plus « psychologique que politique ». « Ca doit peut- être être compliqué d’imaginer pour lui que quelqu’un à droite lui succède », a-t-il évoqué, espérant que la situation « s’apaise ». « Pour la première fois, la droite a choisi une femme pour porter ses valeurs, c’est extrêmement moderne » a-t-il conclu.
Présenté par : Thomas Sotto, Julia Vignali