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Les 4 vérités - Michel Barnier
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Chroniqueuse : Caroline Roux Caroline Roux reçoit Michel Barnier, conseiller de Valérie Pécresse, dans Les 4 vérités. Dans un entretien accordé au journal Le Parisien, mardi 8 février, le président de la Commission des finances de l’Assemblée, Éric Woerth, a décidé d’apporter son soutien à Emmanuel Macron. « Je pense qu'il est le mieux à même de défendre l'intérêt de la France et des Français », a-t-il déclaré à nos confrères. L’ancien ministre sous Nicolas Sarkozy, baron du parti LR, dit ne plus adhérer au « discours » LR, d’une « France nostalgique, recroquevillée sur elle-même», évoquant même une dérive sur les sujets sécuritaires et l’Islam radical. A cinq jours de son grand meeting de campagne, prévu dimanche 13 février, au Zénith de Paris, Valérie Pécresse, la candidate Les Républicains, perd ainsi un poids lourd de sa famille politique. De son côté, le président des Républicains, Christian Jacob a demandé le départ d’Éric Woerth du parti LR. « C’est un choix personnel qu’il a fait. Et je le regrette », a affirmé Michel Barnier, conseiller de Valérie Pécresse, invité des 4 Vérités, jeudi 10 février, sur France 2. Selon lui, « le débauchage individuel » représente « l’ancien monde » est « n’intéresse pas les Français ». Faut-il s’attendre à d’autres débauchages ? « Je ne crois pas qu’il y en aura beaucoup d’autres, mais cela ne m’intéresse pas », a déclaré l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy. Ce dimanche, Valérie Pécresse présentera ainsi son grand meeting de campagne, au Zénith de Paris. Un moment clé pour la candidate qui espère ainsi relancer sa campagne et incarner la seule alternative possible à Emmanuel Macron. « Valérie Pécresse est une femme d’autorité, une femme moderne, qui veut changer les choses, comme elle l’a fait en Île-de-France. Elle ne fait pas de communication, elle dit les choses. Ce serait un honneur pour notre famille politique de porter, pour la première fois, une femme à la présidence de la République », a soutenu Michel Barnier, au micro de Caroline Roux. D’autre part, en raison d’un agenda trop chargé, Emmanuel Macron n’annoncera pas sa candidature avant le 19 février prochain, a confirmé un proche du président de la République, auprès de RTL. « Il est en campagne depuis des mois déjà, il distribue des chèques à tout le monde. Il n’échappera pas à son bilan », a estimé l’ancien député européen. Crise ukrainienne : Emmanuel Macron a-t-il réussi à entamer une désescalade ? Lundi 7 février Emmanuel Macron était à Moscou et, mardi 8 février, à Kiev, en vue d’entamer une désescalade dans la crise ukrainienne. Sans vouloir « critiquer cette visite », soulignant « l’importance de dialoguer », Michel Barnier estime qu’elle intervient « trop tard » et que cette démarche est trop « solitaire ». « Notre voix est singulière et souvent arrogante. La France n’est pas grande quand elle est arrogante », précise-t-il. Sur les Jeux Olympiques, qui se déroulent actuellement à Pékin, en pleine crise sanitaire et diplomatique ? L’élu préfère « penser aux sportifs » avant tout.
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Chroniqueuse : Caroline Roux
Caroline Roux reçoit Michel Barnier, conseiller de Valérie Pécresse, dans Les 4 vérités.
Dans un entretien accordé au journal Le Parisien, mardi 8 février, le président de la Commission des finances de l’Assemblée, Éric Woerth, a décidé d’apporter son soutien à Emmanuel Macron. « Je pense qu'il est le mieux à même de défendre l'intérêt de la France et des Français », a-t-il déclaré à nos confrères. L’ancien ministre sous Nicolas Sarkozy, baron du parti LR, dit ne plus adhérer au « discours » LR, d’une « France nostalgique, recroquevillée sur elle-même», évoquant même une dérive sur les sujets sécuritaires et l’Islam radical. A cinq jours de son grand meeting de campagne, prévu dimanche 13 février, au Zénith de Paris, Valérie Pécresse, la candidate Les Républicains, perd ainsi un poids lourd de sa famille politique. De son côté, le président des Républicains, Christian Jacob a demandé le départ d’Éric Woerth du parti LR. « C’est un choix personnel qu’il a fait. Et je le regrette », a affirmé Michel Barnier, conseiller de Valérie Pécresse, invité des 4 Vérités, jeudi 10 février, sur France 2. Selon lui, « le débauchage individuel » représente « l’ancien monde » est « n’intéresse pas les Français ». Faut-il s’attendre à d’autres débauchages ? « Je ne crois pas qu’il y en aura beaucoup d’autres, mais cela ne m’intéresse pas », a déclaré l’ancien ministre de Nicolas Sarkozy.
Ce dimanche, Valérie Pécresse présentera ainsi son grand meeting de campagne, au Zénith de Paris. Un moment clé pour la candidate qui espère ainsi relancer sa campagne et incarner la seule alternative possible à Emmanuel Macron. « Valérie Pécresse est une femme d’autorité, une femme moderne, qui veut changer les choses, comme elle l’a fait en Île-de-France. Elle ne fait pas de communication, elle dit les choses. Ce serait un honneur pour notre famille politique de porter, pour la première fois, une femme à la présidence de la République », a soutenu Michel Barnier, au micro de Caroline Roux. D’autre part, en raison d’un agenda trop chargé, Emmanuel Macron n’annoncera pas sa candidature avant le 19 février prochain, a confirmé un proche du président de la République, auprès de RTL. « Il est en campagne depuis des mois déjà, il distribue des chèques à tout le monde. Il n’échappera pas à son bilan », a estimé l’ancien député européen.
Crise ukrainienne : Emmanuel Macron a-t-il réussi à entamer une désescalade ?
Lundi 7 février Emmanuel Macron était à Moscou et, mardi 8 février, à Kiev, en vue d’entamer une désescalade dans la crise ukrainienne. Sans vouloir « critiquer cette visite », soulignant « l’importance de dialoguer », Michel Barnier estime qu’elle intervient « trop tard » et que cette démarche est trop « solitaire ». « Notre voix est singulière et souvent arrogante. La France n’est pas grande quand elle est arrogante », précise-t-il. Sur les Jeux Olympiques, qui se déroulent actuellement à Pékin, en pleine crise sanitaire et diplomatique ? L’élu préfère « penser aux sportifs » avant tout.
Présenté par : Thomas Sotto, Julia Vignali