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Les 4 vérités - Bruno Retailleau
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Chroniqueuse : Caroline Roux Caroline Roux reçoit Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, dans Les 4 vérités. Emmanuel Macron s’exprimera sur TF1, mercredi 15 décembre, dans un entretien de près de deux heures, diffusé en prime time. L’émission, baptisée « Où va la France ? », enregistrée dimanche 12 décembre dernier, dans l’après-midi, sera l’occasion de faire un état des lieux du pays et de dresser le bilan de son mandat. Dans l’opposition, on grince des dents. À droite comme à gauche, on dénonce un manque d’équité dans la répartition du temps de parole. Valérie Pécresse et Yannick Jadot ont déjà dit vouloir saisir le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) pour contester le décompte du temps de parole du chef de l’Etat, qui n’est pas encore candidat. « Qui peut croire qu’un bilan n’est pas un acte de campagne ? », s’interroge Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, invité des 4 vérités, mercredi 15 décembre, sur France 2, qui demande un décompte du temps de parole du locataire de l’Élysée. Selon lui, le gouvernement fait campagne à travers ses diverses annonces, qu’il considère comme des « chèques en bois ». Bruno Retailleau a vivement taclé la politique du « en même temps », exercée par Emmanuel Macron. Selon lui, elle affaiblit « la crédibilité de la parole publique ». Depuis sa victoire à la primaire des Républicains, Valérie Pécresse enregistre une forte hausse de popularité. La candidate LR à l'élection présidentielle est la deuxième personnalité préférée des Français, selon le baromètre Odoxa-Mascaret pour LCP-Assemblée nationale, Public Sénat et la presse régionale. Certains la considèrent aujourd’hui comme la principale rivale d’Emmanuel Macron, qui n’est pas encore déclaré candidat. « Il faut qu’elle tienne le cap qu’elle a eu pendant sa campagne de la primaire », estime Bruno Retailleau. « Je lui fais confiance. Elle sera la carte maîtresse de ceux qui veulent tourner la page Macron ». Divergence de valeurs à droite ? Néanmoins, certaines divergences pourraient se faire voir, notamment sur les valeurs. À droite, une vingtaine de sénateurs, dont Bruno Retailleau, se sont opposés à une loi pénalisant les thérapies de conversion - qui consiste à convertir les personnes LGBT à l’hétérosexualité NDLR-. « Je suis contre les thérapies de conversion. Mais je veux protéger, d’abord les mineurs contre les dérives et l’identité de genre, qui vise à tout mélanger. Il s’agit de prévenir », a-t-il précisé. Éric Zemmour souhaite, lui, « chasser les lobbies LGBT des écoles ». « L’école est un sanctuaire qui doit exclure tout militantisme de quelque nature qu’elle soit », a affirmé Bruno Retailleau. Face à la recrudescence de cas de Covid-19, un collectif de médecins azuréens a signé une tribune dans laquelle ils réclament la vaccination obligatoire pour les adultes. « Je suis contre, car cela diviserait encore plus la société française. Mais j’appelle tous nos compatriotes à se faire vacciner », a-t-il conclu, alertant sur la situation critique des hôpitaux.
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Chroniqueuse : Caroline Roux
Caroline Roux reçoit Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, dans Les 4 vérités.
Emmanuel Macron s’exprimera sur TF1, mercredi 15 décembre, dans un entretien de près de deux heures, diffusé en prime time. L’émission, baptisée « Où va la France ? », enregistrée dimanche 12 décembre dernier, dans l’après-midi, sera l’occasion de faire un état des lieux du pays et de dresser le bilan de son mandat. Dans l’opposition, on grince des dents. À droite comme à gauche, on dénonce un manque d’équité dans la répartition du temps de parole. Valérie Pécresse et Yannick Jadot ont déjà dit vouloir saisir le Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) pour contester le décompte du temps de parole du chef de l’Etat, qui n’est pas encore candidat. « Qui peut croire qu’un bilan n’est pas un acte de campagne ? », s’interroge Bruno Retailleau, président du groupe LR au Sénat, invité des 4 vérités, mercredi 15 décembre, sur France 2, qui demande un décompte du temps de parole du locataire de l’Élysée. Selon lui, le gouvernement fait campagne à travers ses diverses annonces, qu’il considère comme des « chèques en bois ». Bruno Retailleau a vivement taclé la politique du « en même temps », exercée par Emmanuel Macron. Selon lui, elle affaiblit « la crédibilité de la parole publique ».
Depuis sa victoire à la primaire des Républicains, Valérie Pécresse enregistre une forte hausse de popularité. La candidate LR à l'élection présidentielle est la deuxième personnalité préférée des Français, selon le baromètre Odoxa-Mascaret pour LCP-Assemblée nationale, Public Sénat et la presse régionale. Certains la considèrent aujourd’hui comme la principale rivale d’Emmanuel Macron, qui n’est pas encore déclaré candidat. « Il faut qu’elle tienne le cap qu’elle a eu pendant sa campagne de la primaire », estime Bruno Retailleau. « Je lui fais confiance. Elle sera la carte maîtresse de ceux qui veulent tourner la page Macron ».
Divergence de valeurs à droite ?
Néanmoins, certaines divergences pourraient se faire voir, notamment sur les valeurs. À droite, une vingtaine de sénateurs, dont Bruno Retailleau, se sont opposés à une loi pénalisant les thérapies de conversion - qui consiste à convertir les personnes LGBT à l’hétérosexualité NDLR-. « Je suis contre les thérapies de conversion. Mais je veux protéger, d’abord les mineurs contre les dérives et l’identité de genre, qui vise à tout mélanger. Il s’agit de prévenir », a-t-il précisé. Éric Zemmour souhaite, lui, « chasser les lobbies LGBT des écoles ». « L’école est un sanctuaire qui doit exclure tout militantisme de quelque nature qu’elle soit », a affirmé Bruno Retailleau.
Face à la recrudescence de cas de Covid-19, un collectif de médecins azuréens a signé une tribune dans laquelle ils réclament la vaccination obligatoire pour les adultes. « Je suis contre, car cela diviserait encore plus la société française. Mais j’appelle tous nos compatriotes à se faire vacciner », a-t-il conclu, alertant sur la situation critique des hôpitaux.
Présenté par : Thomas Sotto, Julia Vignali