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Régions - Retour à la source à Porquerolles
Télématin- 5 min 1 s
- indisponible
- tous publics
Chroniqueuse : Sarah Doraghi Pour la deuxième année d’ouverture de la Villa Carmignac, la Fondation Carmignac a invité la commissaire Chiara Parisi qui a imaginé une exposition, « La Source », puisant son inspiration dans l’architecture de la Villa et l’île de Porquerolles. Après la traversée d’un bois, le visiteur est invité à se déchausser avant de plonger sous la surface d’un mas provençal et découvrir une soixantaine d’œuvres issues de la collection, d’importants prêts mais aussi de nouvelles productions. « Lewis Carroll’s Wunderhorn » de Max Ernst – première œuvre acquise par Edouard Carmignac – est le point de départ d’une grande fresque immersive de Fabrice Hyber, porte d’entrée de l’exposition. Un cheminement vers l’élan vital, régénérateur, de la source se déploie dans les espaces souterrains inondés de soleil. En se plaçant sous le plafond d’eau, puits de lumière et point d’équilibre du parcours, le visiteur découvre le plan des espaces en croix romaine, libéré de ses cimaises. Son regard embrasse toutes les œuvres, des plus méditatives aux plus engagées. Deux axes majeurs de la collection sont ainsi explorés dans un jeu de vis-à-vis : le corps féminin (Egon Schiele, Roy Lichtenstein, Thomas Ruff …) et l’abstraction parfois expressionniste (Gerhard Richter, Theaster Gates, Susan Rothenberg…). Le visiteur regarde et se sent regardé. Au sein des espaces, de nouveaux tableaux, sculptures et installations viennent se confronter à des œuvres emblématiques de la collection, telles des présences pures (« Le totem noir » de De Wain Valentine), rayonnantes (« La main de fer » de Cyprien Gaillard), alchimiques (« La mutation des matières » de Forrest Bess) ou encore troublantes (« Le jeu de miroirs ambigu » d’Elmgreen & Dragset). Pour plus d’informations : https://www.fondationcarmignac.com/programmation/la-source/
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Chroniqueuse : Sarah Doraghi
Pour la deuxième année d’ouverture de la Villa Carmignac, la Fondation Carmignac a invité la commissaire Chiara Parisi qui a imaginé une exposition, « La Source », puisant son inspiration dans l’architecture de la Villa et l’île de Porquerolles. Après la traversée d’un bois, le visiteur est invité à se déchausser avant de plonger sous la surface d’un mas provençal et découvrir une soixantaine d’œuvres issues de la collection, d’importants prêts mais aussi de nouvelles productions.
« Lewis Carroll’s Wunderhorn » de Max Ernst – première œuvre acquise par Edouard Carmignac – est le point de départ d’une grande fresque immersive de Fabrice Hyber, porte d’entrée de l’exposition. Un cheminement vers l’élan vital, régénérateur, de la source se déploie dans les espaces souterrains inondés de soleil.
En se plaçant sous le plafond d’eau, puits de lumière et point d’équilibre du parcours, le visiteur découvre le plan des espaces en croix romaine, libéré de ses cimaises. Son regard embrasse toutes les œuvres, des plus méditatives aux plus engagées.
Deux axes majeurs de la collection sont ainsi explorés dans un jeu de vis-à-vis : le corps féminin (Egon Schiele, Roy Lichtenstein, Thomas Ruff …) et l’abstraction parfois expressionniste (Gerhard Richter, Theaster Gates, Susan Rothenberg…). Le visiteur regarde et se sent regardé. Au sein des espaces, de nouveaux tableaux, sculptures et installations viennent se confronter à des œuvres emblématiques de la collection, telles des présences pures (« Le totem noir » de De Wain Valentine), rayonnantes (« La main de fer » de Cyprien Gaillard), alchimiques (« La mutation des matières » de Forrest Bess) ou encore troublantes (« Le jeu de miroirs ambigu » d’Elmgreen & Dragset).
Pour plus d’informations :
Présenté par : Laurent Bignolas