Par Aurélia Perreau Dans tous les livres de Houellebecq, on retrouve un ingrédient permanent : la misère sexuelle. Du sexe très cru, minable ou tarifé. Et les femmes n’y ont souvent pas le beau rôle.
Dans tous les livres de Houellebecq, on retrouve un ingrédient permanent : la misère sexuelle. Du sexe très cru, minable ou tarifé. Et les femmes n’y ont souvent pas le beau rôle.