Parmi toutes les activités de l’union bouddhiste de France, qui fédère les centres et les associations bouddhistes, il y a l’aumônerie des prisons, créée à la demande du ministère de l’Intérieur il y a 10 ans pour proposer une présence bouddhiste en milieu carcéral, aux côtés des autres religions. S’entretenir avec les détenus qui en font la demande, faire des enseignements ou initier à la méditation… telles sont les principales missions des aumôniers bouddhistes. Nous recevons aujourd’hui leur représentante nationale, et première femme bouddhiste parmi les aumôniers nationaux : Lama Droupgyu. S’ils ne sont pas très nombreux, ceux qui s’engagent dans cette voie savent qu’ils œuvrent pour l’apaisement et peuvent réduire les souffrances ; les difficultés à dépasser ne faisant qu’augmenter les bienfaits de leur présence, pour les détenus et pour les aumôniers eux-mêmes.
Parmi toutes les activités de l’union bouddhiste de France, qui fédère les centres et les associations bouddhistes, il y a l’aumônerie des prisons, créée à la demande du ministère de l’Intérieur il y a 10 ans pour proposer une présence bouddhiste en milieu carcéral, aux côtés des autres religions. S’entretenir avec les détenus qui en font la demande, faire des enseignements ou initier à la méditation… telles sont les principales missions des aumôniers bouddhistes. Nous recevons aujourd’hui leur représentante nationale, et première femme bouddhiste parmi les aumôniers nationaux : Lama Droupgyu. S’ils ne sont pas très nombreux, ceux qui s’engagent dans cette voie savent qu’ils œuvrent pour l’apaisement et peuvent réduire les souffrances ; les difficultés à dépasser ne faisant qu’augmenter les bienfaits de leur présence, pour les détenus et pour les aumôniers eux-mêmes.
