Il y a deux ans et demi, la prison de Jyväskylä a été construite au coeur de la ville d'Helsinki, en Finlande. Ici, cinquante détenus ont une activité professionnelle, une vie associative, sortent faire leur courses, cuisinent leurs plats ou profitent de leur permission pour rendre visite à leur famille. Une permission, certes, mais encadrée sous étroite surveillance : bracelet électronique, stricts horaires de sortie, contrôle d'alcoolémie et de stupéfiants. L'objectif : retrouver la vraie vie pour faciliter la réinsertion. En France, le nombre de détenus a atteint un niveau historique : 72 350 personnes, pour 60 000 places prévues. Dans les maisons d'arrêt, les conditions de détention font régulièrement l'objet de rapports accablants. La France est-elle condamnée à avoir des prisons surpeuplées ? Quelles sont les solutions ?
Il y a deux ans et demi, la prison de Jyväskylä a été construite au coeur de la ville d'Helsinki, en Finlande. Ici, cinquante détenus ont une activité professionnelle, une vie associative, sortent faire leur courses, cuisinent leurs plats ou profitent de leur permission pour rendre visite à leur famille. Une permission, certes, mais encadrée sous étroite surveillance : bracelet électronique, stricts horaires de sortie, contrôle d'alcoolémie et de stupéfiants. L'objectif : retrouver la vraie vie pour faciliter la réinsertion. En France, le nombre de détenus a atteint un niveau historique : 72 350 personnes, pour 60 000 places prévues. Dans les maisons d'arrêt, les conditions de détention font régulièrement l'objet de rapports accablants. La France est-elle condamnée à avoir des prisons surpeuplées ? Quelles sont les solutions ?
