L'alimentation peut-elle influencer le sexe de son futur bébé ?
La maison des Maternelles- 2 min 1 s
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Si pour certains parents, le sexe de l’enfant à naître importe peu, d’autres désirent fortement avoir une fille ou un garçon. Alors, il existe différentes « techniques », plus ou moins scientifiquement prouvées efficaces, pour y parvenir. L’une d’elles consiste à modifier son alimentation, comme explique Dr Véronique Bied Damon :
« Le régime agirait sur le PH du corps. Donc, on peut penser qu’avec une alimentation qui va acidifier ou au contraire, alcaliniser l’organise, on va favoriser plutôt les spermatozoïdes X ou Y. On part du principe que le Y (masculin, NDLR) est généralement plus fragile, donc plus fragile à l’acidité. »
Pour un garçon, on favorisera donc un régime dit « basique » alors que pour une fille, on préférera un régime « acide ».
Cependant, cela n’est pas absolu, comme le rappelle la gynécologue :
« Ces régimes existent depuis longtemps, sans que rien ne soit vraiment prouvé. Dans les méthodes naturelles, c’est tout de même celle qui semble la plus pertinente aujourd’hui. »
Attention, il ne faut pas faire ces régimes sans avoir un suivi et de façon draconienne !
Une histoire de calendrier
Ce n’est pas simplement qu’une question d’alimentation… mais aussi de calendrier ! Le spermatozoïde Y (mâle) est rapide, mais est moins résistant. Le X (femelle) est plus lent mais il est endurant.
Pour avoir une fille, puisque le X est résistant, il vaut mieux avoir des rapports à distance de l’ovulation, par exemple 2-3 jours avant. Ainsi, le jour de l’ovulation, il restera plus de X dans la cavité utérine.
Au contraire, si le rapport a lieu le jour de l’ovulation, les chances d’avoir un garçon sont plus importantes, puisque les spermatozoïdes Y atteignent l’ovule plus vite.
Cependant, la gynécologue précise que les recommandations préconisent d'avoir « la sexualité la plus normale possible. »