Clémentine Sarlat est journaliste et créatrice du podcast La Matrescence. Elle a lancé sur les réseaux sociaux le hashtag #LaVéritéDerrièreLeSourire, elle raconte : « Mon téléphone m’a proposé une photo d’il y a 2 ans de ma fille et moi, et je me suis dit que j’avais l’air bronzée, mince, en pleine forme. Sauf que je sais la réalité derrière : j’étais au fond du trou, en épuisement total et je me suis dit c’est fou ce qu’on peut véhiculer avec une photo. » À l'heure des réseaux sociaux et des clichés partagés par milliers, la jeune femme veut faire passer un message. Une photo n'est pas le reflet de la réalité : « C’est très difficile de dire la réalité de notre vie sur une photo. On choisit ce qu’on veut montrer. Ce que je voulais faire comprendre, c’est que derrière le sourire, on ne sait pas ce qu’il se passe. » Beaucoup de jeunes mères souffrent de l’isolement pendant le post-partum : elles se sentent isolées par l’entreprise, ou même le conjoint. Clémentine Sarlat espère que cela va changer : « L’espoir que j’ai c’est qu’avec le nouveau congé paternité, s'il est pris complètement, les mères seront moins seules. »
Clémentine Sarlat est journaliste et créatrice du podcast La Matrescence. Elle a lancé sur les réseaux sociaux le hashtag #LaVéritéDerrièreLeSourire, elle raconte :
« Mon téléphone m’a proposé une photo d’il y a 2 ans de ma fille et moi, et je me suis dit que j’avais l’air bronzée, mince, en pleine forme. Sauf que je sais la réalité derrière : j’étais au fond du trou, en épuisement total et je me suis dit c’est fou ce qu’on peut véhiculer avec une photo. »
À l'heure des réseaux sociaux et des clichés partagés par milliers, la jeune femme veut faire passer un message. Une photo n'est pas le reflet de la réalité :
« C’est très difficile de dire la réalité de notre vie sur une photo. On choisit ce qu’on veut montrer. Ce que je voulais faire comprendre, c’est que derrière le sourire, on ne sait pas ce qu’il se passe. »
Beaucoup de jeunes mères souffrent de l’isolement pendant le post-partum : elles se sentent isolées par l’entreprise, ou même le conjoint. Clémentine Sarlat espère que cela va changer :
« L’espoir que j’ai c’est qu’avec le nouveau congé paternité, s'il est pris complètement, les mères seront moins seules. »
