Malgré sa douleur au biceps, Samir Aït Saïd n’a pas abandonné. Depuis 5 ans, les jeux c’était son obsession. Presque comme une « malédiction aux Jeux », notre porte-drapeau et travailleur acharné se place au pied du podium en finale des anneaux, à sa grande déception. Un courage impressionnant, mais surmonté de tristesse…
Malgré sa douleur au biceps, Samir Aït Saïd n’a pas abandonné. Depuis 5 ans, les jeux c’était son obsession. Presque comme une « malédiction aux Jeux », notre porte-drapeau et travailleur acharné se place au pied du podium en finale des anneaux, à sa grande déception. Un courage impressionnant, mais surmonté de tristesse…