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Beethoven Heroïque par Insula orchestra à la Philharmonie
Insula Orchestra & Laurence Equilbey- Arts & spectacles
- 1 h 34 min
- indisponible
- tous publics
Un programme Beethoven Comme souvent, Insula orchestra construit son programme autour d'œuvres révolutionnaires, ou du moins marquantes dans l'histoire de la musique classique. Spécialistes du répertoire classique et romantique, Laurence Equilbey et son orchestre explorent ici l'artiste emblématique de la période charnière entre classicisme et romantique : le compositeur allemand Ludwig van Beethoven (1770-1827). Un concerto "beethovenien" et une symphonie révolutionnaire Alors que le Concerto n° 3 s'affranchissait déjà de l'influence de Mozart, en accordant une place grandissante au piano, le 4ème concerto, interprété par Nicholas Angelich, est un vrai concerto beethovenien. Composé en 1806, il ouvre un nouveau genre de concerto, entre la symphonie pour orchestre et la fantaisie pour piano. La Symphonie n° 3 en mi bémol majeur, communément appelée "Eroïca", a été composée entre 1802 et 1804. Elle est la troisième des neuf symphonies du compositeur. Ellle est considérée comme annonciatrice du romantisme, et bouscule les codes de l'époque par sa durée et l'importance accordée à l'émotion. Laurence Equilbey et Insula ochestra, accompagnés du pianiste américain Nicholas Angelich Pour ce concert à la Philharmonie de Paris, Laurence Equilbey dirige l'orchestre qu'elle a créé en 2012, Insula orchestra (voir l’interview de Laurence Equilbey réalisée par Culturebox en 2012). Cet orchestre explore les compositions germaniques de la "Goethe Generation", écrites entre 1750 et 1830, de la mort de Bach à celle de Schubert. Nicholas Angelich est un pianiste américain né en 1970, passioné, entre autres, de Mozart et de Beethoven. Il est un des pianistes les plus talentueux de sa génération, nommé "soliste instrumental de l’année" aux Victoires classiques 2013 (voir les Victoires de la musique classique 2016). Le saviez-vous ?La Symphonie n° 3 était à l'origine dédiée à Napoléon Bonaparte. Beethoven a ensuite renoncé à cette dédicace en apprenant que le consul avait été proclamé Empereur des Français.
En savoir plus Un programme Beethoven Comme souvent, Insula orchestra construit son programme autour d'œuvres révolutionnaires, ou du moins marquantes dans l'histoire de la musique classique. Spécialistes du répertoire classique et romantique, Laurence Equilbey et son orchestre explorent ici l'artiste emblématique de la période charnière entre classicisme et romantique : le compositeur allemand Ludwig van Beethoven (1770-1827). Un concerto "beethovenien" et une symphonie révolutionnaire Alors que le Concerto n° 3 s'affranchissait déjà de l'influence de Mozart, en accordant une place grandissante au piano, le 4ème concerto, interprété par Nicholas Angelich, est un vrai concerto beethovenien. Composé en 1806, il ouvre un nouveau genre de concerto, entre la symphonie pour orchestre et la fantaisie pour piano. La Symphonie n° 3 en mi bémol majeur, communément appelée "Eroïca", a été composée entre 1802 et 1804. Elle est la troisième des neuf symphonies du compositeur. Ellle est considérée comme annonciatrice du romantisme, et bouscule les codes de l'époque par sa durée et l'importance accordée à l'émotion. Laurence Equilbey et Insula ochestra, accompagnés du pianiste américain Nicholas Angelich Pour ce concert à la Philharmonie de Paris, Laurence Equilbey dirige l'orchestre qu'elle a créé en 2012, Insula orchestra (voir l’interview de Laurence Equilbey réalisée par Culturebox en 2012). Cet orchestre explore les compositions germaniques de la "Goethe Generation", écrites entre 1750 et 1830, de la mort de Bach à celle de Schubert. Nicholas Angelich est un pianiste américain né en 1970, passioné, entre autres, de Mozart et de Beethoven. Il est un des pianistes les plus talentueux de sa génération, nommé "soliste instrumental de l’année" aux Victoires classiques 2013 (voir les Victoires de la musique classique 2016). Le saviez-vous ?La Symphonie n° 3 était à l'origine dédiée à Napoléon Bonaparte. Beethoven a ensuite renoncé à cette dédicace en apprenant que le consul avait été proclamé Empereur des Français.