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Magnificat(s) par Insula orchestra et Laurence Equilbey
Insula Orchestra & Laurence Equilbey- Arts & spectacles
- 1 h 32 min
- indisponible
- tous publics
Deux œuvres sacrées majeures Ce sont deux monuments de la musique sacrée de la fin du XVIIIe siècle que proposent Insula orchestra et accentus dans ce programme, sous la direction de Laurence Equilbey. Chacune dans leur genre, ces œuvres sont éclatantes. Le Magnificat de Carl Philipp Emanuel Bach, deuxième fils ayant survécu du Bach de Leipzig, est écrit en 1749, dans un style marqué par celui de son père mais annonçant le classique et la modernité. Carl Philipp Emanuel est le seul fils de Johann Sebastian ayant réussi sa carrière de son vivant et sa musique est admirée de Haydn, Mozart et Beethoven. Les Vêpres solennelles pour un confesseur de Wolfgang Amadeus Mozart sont écrites en 1780, un an et demi après la Messe du Couronnement. Le chorale d'ouverture ainsi que le premier aria, "Quia Respexit", du Magnificat de C. P. E. Bach [[asset:video:221141 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Un Laudate Dominum délicat et aérien, avant-dernier numéro des Vêpres solennelles d'un confesseur, par Kiri Te Kanawa [[asset:video:221199 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Laurence Equilbey et son équipe continuent leur exploration du répertoire germanique classique et pré-romantique Laurence Equilbey, à la tête d’accentus et d’Insula orchestra, s'intéresse en particulier aux compositions germaniques de la "Goethe Generation", les pièces écrites entre 1750 et 1830 (de la mort de Bach à celle de Schubert). Après l’enregistrement du Requiem de Mozart en 2014, l'équipe s’attaque à cette autre pièce majeure de Mozart, ses Vêpres solennelles, ainsi qu'au Magnificat tourné vers l'avenir de Carl Philipp Emanuel Bach. Pour aller plus loinDécouvrir l'espace Culturebox dédié à Insula orchestraL'œuvre de Bach père peut aussi être abordée sous l'angle de l'exploration artistique, à l'aune d'une rencontre entre styles. L'œuvre de Nicolas Godin se prête à ce jeu et mêle pop moderne et musique classique en s’inspirant de compositions de Johann Sebastian Bach. Coproduction Philharmonie de Paris, accentus, Insula orchestra
En savoir plus Deux œuvres sacrées majeures Ce sont deux monuments de la musique sacrée de la fin du XVIIIe siècle que proposent Insula orchestra et accentus dans ce programme, sous la direction de Laurence Equilbey. Chacune dans leur genre, ces œuvres sont éclatantes. Le Magnificat de Carl Philipp Emanuel Bach, deuxième fils ayant survécu du Bach de Leipzig, est écrit en 1749, dans un style marqué par celui de son père mais annonçant le classique et la modernité. Carl Philipp Emanuel est le seul fils de Johann Sebastian ayant réussi sa carrière de son vivant et sa musique est admirée de Haydn, Mozart et Beethoven. Les Vêpres solennelles pour un confesseur de Wolfgang Amadeus Mozart sont écrites en 1780, un an et demi après la Messe du Couronnement. Le chorale d'ouverture ainsi que le premier aria, "Quia Respexit", du Magnificat de C. P. E. Bach [[asset:video:221141 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Un Laudate Dominum délicat et aérien, avant-dernier numéro des Vêpres solennelles d'un confesseur, par Kiri Te Kanawa [[asset:video:221199 {"mode":"in_body","align":"none"}]]Laurence Equilbey et son équipe continuent leur exploration du répertoire germanique classique et pré-romantique Laurence Equilbey, à la tête d’accentus et d’Insula orchestra, s'intéresse en particulier aux compositions germaniques de la "Goethe Generation", les pièces écrites entre 1750 et 1830 (de la mort de Bach à celle de Schubert). Après l’enregistrement du Requiem de Mozart en 2014, l'équipe s’attaque à cette autre pièce majeure de Mozart, ses Vêpres solennelles, ainsi qu'au Magnificat tourné vers l'avenir de Carl Philipp Emanuel Bach. Pour aller plus loinDécouvrir l'espace Culturebox dédié à Insula orchestraL'œuvre de Bach père peut aussi être abordée sous l'angle de l'exploration artistique, à l'aune d'une rencontre entre styles. L'œuvre de Nicolas Godin se prête à ce jeu et mêle pop moderne et musique classique en s’inspirant de compositions de Johann Sebastian Bach. Coproduction Philharmonie de Paris, accentus, Insula orchestra