Histoires courtes inonde vos consciences d’images qui s’emparent du réel avec le cycle « Parlez dans l’hygiaphone ». Un réel administratif et kafkaïen puisqu’il est aussi absurde que sinistre. Une file d’attente, un formulaire en caractère illisible, un mur qui se dresse devant nous et qui porte la couleur de notre désespoir, parfois grave et parfois comique. Que faire quand les inégalités nous poursuivent
jusque chez nous et que même ce « chez nous » est incertain ? Une dernière émission qui convoque une ultra moderne solitude dans une période où les masques sont difficiles à faire tomber.
